1. Un jeune homme à la capitale (4)


    Datte: 24/07/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: JHaParis, Source: Xstory

    ... sera avec plaisir. Je vais vous laisser mon numéro.
    
    Elle prit un stylo dans son sac et inscrivit son numéro de téléphone sur le ticket de nos consommations.
    
    Elle se leva et se tourna vers moi.
    
    — Allons, nous devons y aller.
    
    Je me levai tandis qu’elle tendait sa main à l’homme qui s’en empara.
    
    — Alors à bientôt mon cher Monsieur. J’attends votre appel.
    
    — Vous pouvez compter sur moi. Je ne vous décevrai pas.
    
    — Mais je l’espère bien...
    
    J’eus l’impression que la poignée de main durait plus longtemps que nécessaire. Puis nous quittâmes la terrasse.
    
    Je me retournai furtivement et aperçus l’homme qui hélait le garçon, notre ticket dans une main, un billet dans l’autre.
    
    Nous traversâmes le pont puis par un petit escalier, nous regagnâmes les bords de la rivière. Il était plus de 17 heures et il n’y avait plus autant de promeneurs.
    
    Ma tante reprit mon bras.
    
    — Dites-moi ma tante, comment saviez-vous que l’homme allait nous aborder ?
    
    — Les hommes sont trop prévisibles. L’as-tu vu faire tomber ses clés, son paquet de cigarettes, ses pièces ?
    
    — Oui, il était particulièrement maladroit.
    
    — Pourtant il avait des mains soignées certes, mais des mains de travailleurs manuels. Des manuels maladroits c’est rare non ?
    
    — Oui, il ne doit pas faire ...
    ... de bonnes affaires.
    
    — Détrompe-toi. Si ses affaires n’étaient pas bonnes, il ne porterait pas une Rolex. Et il ne fréquenterait pas cette guinguette. Non, s’il laissait tomber ses clés, ses cigarettes ou sa monnaie, c’était pour avoir un prétexte pour regarder sous la table.
    
    — Qu’y avait-il sous sa table ?
    
    — Sous la sienne, rien. Sous la nôtre, mes jambes.
    
    — Vous voulez dire qu’il faisait tout cela pour regarder vos jambes !
    
    — Pas que cela. Viens.
    
    Nous passions devant un petit jardin public avec de gros arbres. Elle m’entraîna derrière l’un d’eux.
    
    Elle me plaqua contre un arbre et se colla à moi.
    
    — Enlace-moi. Bien. Maintenant, glisse une main sous ma robe, caresse-moi les fesses. Que sens-tu ?
    
    — Rien. Je veux dire... Vous n’avez pas de culotte !
    
    — Tu vois donc ce qu’il regardait. D’autant que je croisais et décroisais les jambes. A la fin, je les avais même étendues en les écartant légèrement. Tu imagines la vue qu’il avait ?
    
    — Je comprends... Et en notant votre numéro sur le ticket, vous l’obligiez à payer ou à passer pour un goujat.
    
    — C’est bien, tu comprends vite. S’il appelle, crois-moi, j’aurais une véranda pour pas grand-chose. Il ne reste plus qu’à trouver un marchand de jacuzzis. J’ai toujours rêvé d’une véranda avec Jacuzzi... 
«1...3456»