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Un jeune homme à la capitale (4)
Datte: 24/07/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: JHaParis, Source: Xstory
Après nous être habillés, nous décidons de faire une promenade dont le but principal est de me permettre de repérer le chemin de la gare de RER, car le lendemain, je dois me lever à l’aube pour rejoindre mon lieu de stage. Le pavillon de ma tante se situe dans un quartier très calme, non loin de la Marne dont il faut suivre la rive pour rejoindre un pont. La gare se trouve non loin de l’autre rive. Nous avions traversé ce pont le matin même, mais plutôt que suivre la rivière, nous avions fait un détour par le centre-ville et le marché. Je découvre donc les bords de Marne et l’ancien chemin de halage reconverti en promenade. Nous cheminons côte à côte. Ma tante a repris mon bras, pour mon grand plaisir et à ma grande fierté. Elle a changé de tenue et mit une robe aussi printanière que la première, mais nettement plus courte, qui met en valeur sa taille de guêpe. Ce qui donne encore plus de volume à sa poitrine qui semble prête à crever le fragile tissu. Sur le bord de la rivière, de nombreux couples se promenaient comme nous, quelques fois entourés d’enfants. Visiblement, c’était un lieu de promenade romantique très prisé. Quelques amoureux échangeaient des baisers interminables, des canards et quelques cygnes se laissaient porter par le courant. Des péniches passaient de temps à autre, croisant des canots et quelques petits voiliers. Les amateurs d’aviron s’en donnaient à cœur joie. Nous marchions lentement, car j’avais les jambes en coton. Nous ressemblions aux ...
... autres couples et c’était pour moi une sensation étonnante. Ma tante m’entretenait sur le quartier. La grande histoire, avec Pierrot le fou qui venait fréquenter les guinguettes ou les frites accompagnaient les fritures d’ablettes directement péchées dans la rivière. Elle évoquait ce passé somme toute assez proche avec animation et enthousiasme, recréant par la magie de son verbe les équipées des voyous qui quittaient Pigalle les temps d’un week-end pour emmener leurs gagneuses au vert dans leurs rutilantes voitures. Elle évoquait une époque où ce quartier était encore le royaume des maraichers et me promit de m’emmener voir un des derniers à cultiver encore ses légumes pour les vendre au marché. Elle me parlait également des petites histoires, les aventures extraconjugales comme celle où le mari trompé avait poursuivi l’amant de sa femme qui n’avait dû son salut qu’à un plongeon dans la rivière en plein mois de février. Elle me faisait rire aux éclats. — Ma tante, comment faites-vous pour être si gaie ? — Mon neveu, le secret c’est que je suis toujours gai quand j’ai fait l’amour. — Eh bien... Papa dit vous avoir toujours connue gaie comme un pinson. — C’est que je dois faire souvent l’amour, dit-elle en s’esclaffant... — Mais alors pourquoi ne pas vous êtes remarié. — Hé, mais le petit homme devient indiscret. Je rougis jusqu’aux oreilles. — Excusez-moi ma tante. — Ce n’est rien, ballot ! C’est sans doute que je n’ai pas trouvé le bon. Ou que je ...