Le chat croque la souris.
Datte: 16/07/2023,
Catégories:
fhh,
ffh,
hplusag,
fplusag,
vacances,
bateau,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
jouet,
confession,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... combinaison de jardinier qui le couvre des pieds à la tête.
— Et ça, c’est rien, je vais te montrer ce qu’elle est capable de faire.
Il se déshabille. Déjà, il bande un peu. Je ne peux m’empêcher de me faire la réflexion que même un homme comme lui qui a dû voir sa femme des dizaines de fois dans cette situation, peut avoir une érection de ce spectacle.
— Installe-toi, chérie, qu’on lui montre comme tu peux être très salope.
Laure me laisse en plan pour se lever. Elle repousse les livres et journaux qui sont posés sur la petite table, un petit bureau, un peu plus loin. Elle s’allonge. Son mari la suit et fait le tour.
— Viens, n’aie pas peur.
Moi aussi, je m’avance. Le bureau est petit. La femme tient à peine dessus, ses jambes pendent, sa tête est juste au bord. Comme un ballet bien réglé, une scène cent fois répétée, Louis pousse sa bite naissante entre les lèvres grandes ouvertes de sa femme. Il soutient la tête de ses deux mains et je le vois bouger comme pour une possession. Bien entendu que j’ai déjà vu ce genre de situation. Tout homme a été regardé un jour sur le net en tapant « gorge profonde » ou mieux« deepthroat » et a regretté que sa copine, sa femme, sa maîtresse ne soient pas capables de rivaliser avec certaines de ces actrices.
Eh bien, Laure, elle, peut. J’en ai la preuve sous les yeux. La bite de son mari prend très vite de son ampleur pour apparaître comme j’ai déjà eu l’occasion de la voir l’autre soir. Elle paraît plus grosse aussi. ...
... Maintenant, alors qu’il lui enfonce jusqu’aux couilles, je peux la voir déformer le cou de sa femme. Il avance si loin…
Elle tousse à peine. Il sait quand il doit se retirer pour la laisser respirer. Il suit mon regard. Il voit bien comment je suis hypnotisé de voir le cou se déformer alors qu’il avance, recule un peu pour le déformer à nouveau cherchant manifestement à m’impressionner.
Son visage est un champ de bataille. On pourrait le juger repoussant avec toute cette salive qui coule de sa bouche et que le bâton tire avec lui. Le brut aussi est particulier. J’ai déjà lu des mots comme « brasser ou barater », mais ils ne sont que de pauvres verbes au regard du bruit de cette salive que le mandrin déplace.
— Baise-là. Elle va aimer.
Cela paraît si simple. Conversation de salon pour adultes consentants.
Si elle a la bouche pleine, elle n’est pas sourde. Je vois ses jambes s’écarter pour me montrer le chemin. Sa fente est dissimulée par des collines et des plis qui donnent l’impression d’onduler sous une brise.
Je saisis ses jambes pour les lever et les écarter encore plus. Moi aussi je la veux grande ouverte pour moi. Une seconde je pense « préservatif », mais je me souviens que Louis avait parlé de contrôles récents.
Il voit cependant mon hésitation.
— Il y a ses capotes dans le tiroir. Il me montre du doigt. Mais on est clean et tu as dit que toi aussi.
Je n’hésite plus. Son ventre bouge au rythme des avancées du mari. C’est comme une onde que la ...