1. Le chat croque la souris.


    Datte: 16/07/2023, Catégories: fhh, ffh, hplusag, fplusag, vacances, bateau, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, jouet, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... bite déclenche en avançant si loin. Je pose ma main sur sa chatte. Elle est humide. La salope, elle mouille ! J’hésite. Encore une fois, il me comprend.
    
    — Agnès ne le saura pas.
    
    Cet homme lit dans ma tête. Mais tout ce qui me reste de cervelle descend dans ma queue. Je ne suis plus qu’un mâle qu’une femelle désire.
    
    Je me place. Je pousse. J’avance. Je glisse. J’ouvre. Et à la fin de l’envoi, je touche… Cyrano de pacotille, je fais, et heureusement que j’ai tout le temps de la longue tirade pour ne pas toucher déjà et bien baiser cette salope que le mari enfile de toute sa longueur.
    
    Elle est prise entre deux feux. Elle s’étouffe. C’est trop. Mes avancées la propulsent trop vers le mari. D’ailleurs, il la laisse.
    
    — Alors, chérie, tu l’as enfin, ton Julien.
    
    Elle hoche la tête. Je me sens des ailes, une queue plus grosse, plus longue, une queue désirée par cette femme si experte que c’est comme une reconnaissance. J’aimerais pouvoir m’en vanter auprès de ma femme. Lui monter que d’autres femmes désirent son mari. Qu’il serait temps qu’elle laisse aux vestiaires, les hardes de pudibonderie, de culpabilité, de cul coincé, avec lesquelles ses parents l’ont habillée. Déjà cet été nous avons franchi l’étape de la plage naturiste et le hasard nous a mis sur le chemin de ce couple. Ils nous ont offert le spectacle d’une sexualité libérée et si je ne suis pas prêt pour te voir avec un autre homme au moins nous pourrions diversifier nos jeux. Déjà entre nous, et ...
    ... pourquoi pas essayer de nous « montrer » un peu. Comme moi, j’ai bien vu que l’autre soir, la proximité de ce couple que nous voyions et qui nous regardait t’inspirait.
    
    Mais tu n’apprécierais pas ce que je fais. Tu pourrais être fière, car je la fais couiner, cette salope de vingt ans notre aînée. Sa moule est un gouffre que j’explore. Elle est si humide que tu entendrais même de loin ce « floc-floc » si caractéristique.
    
    Excuse-moi, chérie. Je ne devrais pas penser à toi dans un moment pareil. Je t’aime. Dieu, que je t’aime.
    
    Le mari pervers s’est rapproché de moi. Il m’encourage. Ses mains poussent sur mes fesses. Une descend pour me presser les couilles comme pour vérifier qu’elles travaillent pour pouvoir balancer assez de foutre et inonder sa femme.
    
    Mais il ne s’arrête pas là. Il glisse sa tête derrière moi et je sens sa langue qui joue avec mon petit trou. Sans pudeur, ses mains écartent mes fesses pour mieux y avoir accès.
    
    Je ne baise plus sa femme qu’avec de petits coups de reins. Sa langue humide me trouble. Caresse qu’Agnès n’a jamais imaginée. À la rigueur, un doigt dans mon petit trou et encore !
    
    Mais il cesse son jeu. Il se relève.
    
    — J’ai envie de te prendre. J’ai retenu ce que tu m’as dit sous la douche. Tu veux bien ?
    — Je… Tu es trop gros… Je n’ai plus fait… depuis des années…
    — Je sais, mais je serai très délicat. Tu vas voir. Laure va apprécier et toi aussi. Ton petit cul me fait envie depuis que je t’ai vu…
    
    Je ne sais quoi dire. C’est vrai ...
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