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Le chat croque la souris.
Datte: 16/07/2023, Catégories: fhh, ffh, hplusag, fplusag, vacances, bateau, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, jouet, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... piercings la montrent du doigt. Je ne sais si elle avait vraiment pensé au coup du sex-shop, de la lingerie et du plug, mais le résultat est là. Pour la première fois, j’ai senti qu’Agnès avait apprécié que quelque chose lui occupe son petit trou. J’ai même failli lui proposer de sortir danser tout en gardant le truc en elle, mais je n’ai pas osé. Il ne faut pas aller trop vite… Le lendemain matin, Laure rappelle à ma femme qu’elle a pris rendez-vous chez le coiffeur pour elle. Le rendez-vous est à dix heures. On va l’attendre avant de partir à la plage ou grignoter un truc avant. La terrasse est à l’ombre à cette heure de la journée. Louis jardine. Je flemmarde sur un transat. Laure vaque à ses occupations. Que rêver de plus ? — Alors tu as apprécié ce qu’elle a acheté hier. — Tu parles de la lingerie ? — De la lingerie et du reste. — Oui, on en a bien profité. C’est fou comme ce genre de conversation me paraît normal avec elle. Tout paraît si simple avec eux. Mais je ne vais pas jusqu’à dire qu’Agnès est loin d’être une fanatique de la sodomie. Et lui avouer que le plug m’a paru une « porte ouverte » pour de plus amples explorations me ferait passer pour un mari même pas capable de décider mon épouse pour des possessions un peu plus osées que le banal « papa dans maman ». — Quel dommage que l’autre soir tu aies refusé la proposition de Louis de faire un échange. Agnès aurait certainement apprécié mon mari. C’est un amant redoutable. Et moi j’aurais pu… ...
... Mais il n’est pas trop tard. Qu’en penses-tu ? Je n’en pense rien si ce n’est que je ne résiste pas lorsqu’elle tire sur mon short pour mette mon sexe a l’air. J’en pense encore moins alors qu’elle me caresse et déjà me gobe. Je pense juste à dire : — Agnès pourrait revenir. La belle excuse. Excuse balayée par un : — Elle en a pour au moins deux heures. Déjà ses paroles sont moins claires par la salive qui coule. La salope m’a fait durcir en deux, trois coups de langue et mon vit semble avoir poussé du fond de sa gorge. Elle me suce comme elle a sucé son mari l’autre soir. On dirait que la vie s’arrêterait si elle ne pompait pas si bien. Elle me gobe les couilles. Elle me pousse un doigt dans le cul après me l’avoir fait sucer. Je suis aux anges. Je ne quitte plus cette tête qui s’active et qui, lorsqu’elle tourne ses yeux vers moi, me montre un regard qui contient toute la perversité du monde. Et lorsqu’elle m’abandonne pour reprendre son souffle, son visage, sa bouche, ses lèvres, son menton sont une toile que sa salive habille. Elle me branle. Ma bite est dure comme jamais. Elle replonge. Je sens ses lèvres qui rampent doucement le long de ma hampe. Bientôt je ne vois plus que ses lèvres et mes couilles. Elle m’a tout gobé. — Je t’avais dit qu’elle savait y faire. C’est le mari qui est revenu. Louis nous regarde. Depuis combien de temps, je ne sais pas, mais probablement que le couple s’est concerté. Il est juste derrière elle. Il est avec sa ...