L'Histoire mène à tout... (14) - Histoires de Sexe

L'Histoire mène à tout... (14)

... est inconcevable d’obliger une mère ou une sœur à des relations incestueuses par la contrainte. C’est stupide. Non, la soumission doit venir d’elles. Ce n’est qu’à ce prix qu’elles seront parfaitement soumises et obéissantes à mes moindres désirs et mes perversions.

— Je te laisse y réfléchir. Sache que Vanessa m’est à présent enchaînée. Elle m’est soumise, corps et âme. N’est-ce pas Vanessa ? Peux-tu expliquer ta situation à ma famille ?

— Alexis est mon maître. C’est le prix à payer pour qu’il daigne me pardonner et me reprendre auprès de lui. Mais je me soumets volontiers à ses désirs, car l’amour que je lui porte est infini. Et ce malgré mes tromperies et mes mensonges. Il n’y en aura plus jamais. Je suis à lui. Totalement soumise de mon plein gré, pour lui et pour moi.

— La vache, il est doué le frangin ! Il m’épate, là ! déclare ma sœur, toujours en train de caresser négligemment sa chatte.

— Je te signale que le marché est également valable pour toi, Caroline. Je te laisse aussi y réfléchir.

— Pas besoin, Alexis ! Je ne suis pas femme à me soumettre à un homme. Jamais je ne m’y suis résolue.

— Donc ?

— Putain, tu parles que j’accepte ! déclare-t-elle en riant. Tu m’as scotchée. Si tu arrives à faire plier une femme comme Vanessa, je veux voir ça et y participer. Considère que je te suis également soumise. Mais nous y mettrons quelques conditions tout de même.

— Je te l’accorde. Maman ? Je vais te laisser du temps. Que diriez-vous d’un bon lunch ...

... pour midi, arrosé d’un vin rosé bien frais ? Il est déjà temps d’y penser ? Vanessa, va te changer. Tu peux profiter de la piscine ce matin. Caroline ? Si tu veux la rejoindre... Je m’occupe de tout. Maman, fais ce que bon te semble.

— Je te remercie de m’autoriser à vivre, Alexis ! dit-elle d’un ton narquois.

— Je t’en prie. Qui sait si cela sera encore le cas ce soir ?

Sans lui laisser le temps de répondre, je me dirige vers la maison avec les résidus de notre petit-déjeuner. Après avoir préparé le repas, il est près de midi et je m’installe à l’ombre d’un pin, et je jauge les deux femmes qui discutent dans la piscine. Vanessa est seins nus, tout comme ma sœur. Elles sont divines. Je suis certain que c’est ce que Botticelli voulait peindre lorsqu’il a représenté Vénus. C’est à ce moment que Vanessa tourne la tête vers moi, en me souriant, elle me demande

— Tout va bien Alexis ?

— Bien sûr. Et toi ? Tu as tout ce que tu désires ?

— Presque ! Tu n’es pas là.

— Je vais venir. Ne t’inquiète pas. Je ne t’oublie pas. En attendant, si tu veux profiter un peu de Caroline et si Caroline veut profiter un peu de toi, je vous y autorise volontiers.

— MMmhhh... j’adore quand tu penses ainsi, grand frère. Vanessa, viens ici.

Je regarde alors ma sœur poser ses lèvres ouvertes sur celle de Vanessa et leurs langues entamer un délicieux balai. Les mains caressent les seins, tirent sur les tétons, ma sœur passe entre les jambes de ma fiancée pour lui titiller avec ...