Le choix
Datte: 16/07/2023,
Catégories:
fh,
hépilé,
fépilée,
hsoumis,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pied,
Oral
hgode,
fouetfesse,
sf,
dominatio,
Auteur: Tiberius, Source: Revebebe
... dilatation. Tu le garderas en toi jusqu’à l’heure de ta fessée.
— Oui, ma déesse, répondis-je.
Puis, heureux, je me retournai et me mis en position de soumission pour recevoir ma récompense. Elle me l’enfila prestement et j’en ressentis un immense plaisir non dénué de fierté.
— Maintenant, tu vas aller jouer au jardin. Tu resteras tout le temps à quatre pattes et je viendrai te chercher tout à l’heure. J’ai beaucoup de travail avec prêtresse Izna.
— À vos ordres, ma déesse.
Ma déesse me laissa seul dans le jardin, dans lequel je déambulai à quatre pattes, m’habituant peu à peu à cet instrument qu’elle avait introduit dans mon anus. La sensation en était étrange, je me sentais totalement envahi et en même temps plus dénué que jamais, plus nu que jamais, comme si on m’avait entièrement dépouillé du peu de dignité qui me restait. J’explorai le sous-bois, les adorables petits sentiers herbeux qui le parcouraient, seul. En effet, je ressentais le besoin d’être seul et en contact avec la nature, je ne désirais pas que l’on vît en cet instant mon désespoir et mon humiliation. J’avais pris du plaisir à cela et je m’en sentais profondément honteux.
Au détour du chemin, j’aperçus les deux servantes, Louna et Sinnia. Je fis prestement demi-tour et me cachai entre les fourrés. J’étais mortifié à l’idée qu’elles puissent me voir avec cet objet dans mon anus. Peine perdue, elles m’avaient vu ! Elles coururent dans ma direction, puis se mirent à chercher dans les ...
... fourrés.
— Garnion ! Garnion ! Où es-tu ? Pourquoi te caches-tu ? claironnait l’une d’entre elles.
J’entendais leurs rires et leurs voix se rapprocher de plus en plus et l’une des servantes finit par me découvrir, caché à quatre pattes derrière un taillis. Je lui lançai un regard implorant.
— Sinnia, viens ! cria-t-elle. Je l’ai trouvé !
Sinnia arriva au bout de quelques instants et elles éclatèrent toutes les deux de rire en me montrant du doigt.
— Ah ! Mais je comprends pourquoi il se cachait ! Le petit coquin ! Regarde la belle émeraude qu’il a entre les fesses ! s’exclama Louna.
— Oui ! répliqua Sinnia. Il vient de se faire défoncer le cul par sa maîtresse et il ne voulait pas qu’on le voie ! Le pauvre chou !
J’étais rouge de honte. Sinnia me caressa les cheveux, puis me dit :
— Mais tu ne dois pas avoir honte ! Sa Grâce t’a donné un beau bijou vert parce qu’elle est fière de toi. Allez, mets-toi en position de soumission et montre-le bien.
Je m’exécutai tandis qu’elles ne tarissaient pas d’éloges sur mon anus bien ouvert, mes fesses dodues et mes belles couilles. Malgré ou peut-être à cause de la honte et de l’humiliation, j’eus immédiatement une très forte érection, qu’elles remarquèrent de suite :
— Mais c’est qu’il aime bien s’exhiber devant ses supérieures, ce mignon petit esclave ! fit Louna. Et si on jouait avec lui ?
— Bonne idée ! s’exclama Sinnia. À quoi peut-on jouer ?
— Mais à la balle ! Allons en chercher une. Viens, esclave !
Je leur ...