1. Le choix


    Datte: 16/07/2023, Catégories: fh, hépilé, fépilée, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, Oral hgode, fouetfesse, sf, dominatio, Auteur: Tiberius, Source: Revebebe

    ... ma déesse ! m’exclamai-je.
    — Alors, rends-toi, capitule, abandonne-toi à moi, tu m’appartiens, tu es mon esclave…
    
    Je me courbai encore plus et levai les fesses, comme pour m’ouvrir à ma déesse. L’objet commença à entrer en moi, puis à faire des va-et-vient, premièrement très lents et juste au bord, puis de plus en plus profondément et rapidement à l’intérieur de moi. Honteux, je me surpris à gémir sous ces assauts répétés à mon intimité la plus secrète que j’exhibais ainsi avec impudeur devant ces deux jeunes femmes.
    
    — Mais c’est qu’il aime ça ! fit observer Prêtresse Izna, ce qui en ajouta encore à mon désarroi et ma honte.
    — Oui, regardez ! répliqua ma déesse. Je suis en train de lui enfoncer jusqu’à la garde !
    
    Je sentis sa main gauche se poser sur mon dos tandis que de sa main droite, ma déesse augmentait la cadence et la force des coups de boutoir qu’elle assénait à mon arrière-train. À chaque fois qu’elle allait jusqu’au fond, je sentais le bout de ses doigts effleurer délicatement mes couilles glabres.
    
    — Allez, vas-y, mon amour ! Lâche-toi ! s’exclama-t-elle.
    
    Mes gémissements se transformèrent en un râle profond, mes fesses s’agitaient au rythme des va-et-vient, comme pour en accompagner le mouvement et mieux me donner à elle, et je commençai à m’exclamer :
    
    — Oh oui ! Oui ! Oui ! Ma déesse ! Ma déesse ! Je suis votre esclave ! Votre esclave soumis !
    
    Puis soudain, Déesse Lalith retira l’objet et me laissa pantelant sur la table, couvert de sueur, ...
    ... le souffle court et toujours en position de soumission. À cet instant, je ne souhaitais pas bouger, je souhaitais être comme cela devant elle à jamais, m’exposant à elle, m’offrant à elle tout entier. En cet instant, mon corps et mon âme étaient tous entiers voués à ma déesse : j’étais devenu comme une incarnation de la soumission la plus totale et la plus abjecte et j’étais empli d’un plaisir effroyable, celui de me sentir totalement sien.
    
    Lorsque j’eus récupéré mon souffle, elle me fit descendre de la table et je m’effondrai à ses pieds, les couvrant de baisers tout en la remerciant.
    
    — Merci, ma déesse ! Merci, ma déesse ! psalmodiai-je sans cesse.
    
    J’étais conscient du regard que les deux femmes portaient sur moi et j’en avais encore honte. Et voilà que je découvrais que même cette honte à être ainsi humilié, même à m’humilier volontairement en me traînant aux pieds de Déesse Lalith, m’était devenu un plaisir. Vérité effroyable, certes ! Vérité implacable aussi ! Mais je découvrais à cet instant que ma vie avait changé de but depuis le soir, où, au bain, je l’avais choisie : je vivais désormais pour la servir, j’étais son esclave. Et j’en étais heureux.
    
    Ma déesse sortit du placard un objet qui affectait légèrement la forme d’une poire, en plus allongé, dont une des extrémités était ornée d’une pierre précieuse de couleur verte.
    
    — C’est ta récompense et ta note, mon esclave d’amour. C’est rare que les esclaves atteignent le vert le premier jour des exercices de ...
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