Petite pute pour daddies (3)
Datte: 12/07/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... mort... Le mien là, il est large.
— Ah bon ? Pourtant... c’est...
— Allez, vas-y, accélère... mets-moi ce que je t’ai mis tout à l’heure.
Alors, j’essayai de faire comme il avait fait, mais, d’une part, je n’avais pas l’air de le secouer beaucoup, même s’il émettait quelques râles et, d’autre part, je fatiguai vite sans arriver à maintenir le rythme. Je capitulai rapidement et revins m’allonger sur lui.
Il fit avec ses bras ce qu’il avait fait avec ses jambes et je compris qu’il fallait lui bouffer les aisselles ; je m’acquittai plutôt bien de cette tâche.
J’aimais ça.
J’étais suffisamment excité maintenant pour prendre des initiatives et, malgré la crainte qu’elle m’inspirait, je revins vers sa queue.
Elle gisait, dure, tendue, contre son ventre et je m’assis dessus. Puis je me soulevai, la saisis et la guidai de façon à m’y empaler. Mon homme souriait. Il me tendit le gel et, pendant que je me graissai le fion, il s’astiqua la bite.
Curieusement, je glissai sur elle plus facilement que je ne l’aurais cru, mais lentement quand même. Quand cela me faisait souffrir, la rondelle était encore sensible... j’arrêtai, puis recommençai, résolu à y arriver coûte que coûte pour lui.
Juan commença à me pincer les tétons, mais très doucement. Toujours à cheval sur lui, à genoux, je m’habituai peu à peu et son vit coulissant à chaque fois plus facilement et plus profondément en moi.
— Pince-moi les tétons aussi.
Je le fis.
— Plus fort... encore... ...
... Ouais... comme ça... c’est bon.
J’avais du mal à me concentrer. Je contrôlai de plus en plus la douleur, me branlai en même temps et cherchai les tétons de Juan. Je n’avais pas assez de deux mains pour aller de ma queue à celle qui disparaissait de plus en plus en moi, ou pour triturer la poitrine de mon amant, avant même de commencer à me tirer sur mes propres tétons quand Juan les laissait pour caresser mes hanches, mes fesses ou ma bite.
Il y eut un moment enfin où le plaisir submergea la douleur et je me mis à danser sur la queue.
— Tu y es... ça y est mon trésor... Tu n’as plus mal ?
— Si... si... elle me déchire encore ta grosse queue, mais maintenant, ça me fait du bien en même temps... c’est bizarre... C’est bon... bon...
— Vas-y... encore, descends jusqu’aux couilles...
— Aaaaah, ouiiii, c’est bon...
Juan se mit alors à donner des coups de bite en jouant des reins. Ce fut un rodéo où sa queue tapait dans le fond à chaque fois qu’il se contractait. J’étais sur une bite éjectable et j’eus du mal à me maintenir sur l’homme. Je me cramponnai à ses épaules et finis par m’allonger sur lui. Il me pilonna de plus en plus fort, reprenant parfois son souffle pendant quelques secondes. Pour l’aider, je me mis pieds sur le matelas jambes pliées, accroupi sur sa tige, tendant les bras vers l’arrière pour trouver l’équilibre. Ainsi je pesai moins sur lui. Nos mouvements conjugués achevèrent de m’emmener au septième ciel, d’autant qu’il me masturbait pendant ce ...