Petite pute pour daddies (3)
Datte: 12/07/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... beau-père est allé à la douche. On ne cachait rien de sa nudité avec de gros plans sur son sexe énorme et velu. Putain, me suis-je dit, c’est un film de cul.
Le jeune entrait dans la chambre et matait discrètement son beau-père sous la douche. Son débardeur dévoilait une belle musculature et son jean était serré. Il y a porté la main en tirant ostensiblement sur sa bite.
Puis le garçon a pris le slip du beau-père et à commencé à le sniffer.
— Ça te rappelle quelque chose ?
— Le... le film ?
— T’es coriace toi... tiens !
Et il m’a tendu son tanga.
— Je le porte depuis trois jours... vas-y ! C’est bien ce que tu as fait avec le mien non ?
Sur l’écran, le gars aspirait le machin maculé de taches blanches comme un rail de coke et plongeait la main dans son pantalon.
— Vas-y... c’est ça que tu veux, non ?
Alors j’ai pris le calbut et je l’ai porté à mes narines... et j’ai respiré de toutes mes forces en fermant les yeux et me mordant la lèvre inférieure.
— Pourquoi m’as-tu dit que tu n’étais pas gay ?
— J’sais pas... j’ai jamais eu de relations sérieuses avec un homme...
— T’es puceau ?
— Oui... ai-je répondu timidement avant de reprendre une grande goulée d’air masculin.
Dans le film, le mec avait sorti sa bite et se branlait en bouffant le slip. Sous la douche, le daddy se savonnait la queue qui formait un angle de 90 ° avec son pubis mousseux.
— Fais comme lui ! m’a ordonné Juan en tirant les draps.
J’avais une gaule d’enfer. ...
... J’ai pris ma trique de la main droite en serrant toujours le slip de la main gauche.
— Eh, eh ! Belle tige ! On dirait pas quand elle est au repos. 17 centimètres ?
— A peu près...
— 5 de diamètre ?
— J’sais pas.
— J’aime bien ton gland... pourtant, en règle générale, je préfère les bites avec prépuce... Il est vachement bien dessiné, c’est rare quand on a le gland moins large que le haut de la hampe... belle queue en forme d’obus.
Alors il l’a prise dans sa main et m’a branlé un peu, sa bouche presque contre ma joue en soufflant :
— Tu aimes ?
— Oh ouiiii... ai-je dit en me détendant.
Puis, tout en la tenant fermement, il s’en est rapproché et l’a mise dans sa bouche et s’est mis à l’agiter dans tous les sens. J’ai écarté les jambes, laissé tomber mes bras et j’ai gémi.
Quand il a arrêté, il s’est remis à côté de moi.
— Tu te rends compte du temps que tu nous as fait perdre ! J’ai failli te croire quand tu me disais que tu n’étais pas gay.
— Pardon... ai-je balbutié.
Et pour me faire pardonner, je me suis penché vers son braquemart, tendu comme un arc.
Au moment où j’allais y poser mes lèvres, il m’a violemment tiré par les cheveux.
— Eh... tu fais quoi là ?
— Ben...
Je ne comprenais plus rien.
— Tu la veux ma queue ?
— Oui. Oui, bien sûr...
— Tu la veux vraiment ?
— Oui...
— D’accord, mais il faut que tu acceptes mes règles.
— D’accord, ai-je répondu sans réfléchir. On y était. Je n’allais pas tout rater en ...