Petite pute pour daddies (3)
Datte: 12/07/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... d’impatience et de crainte. J’allais me faire prendre pour la première fois, et par l’homme que j’aimais ! Mais son engin était tellement gros !
— Mets-toi à quatre pattes.
Et il commença à m’introduire un doigt, puis deux. Il les roula de tous les côtés, remit du gel et essaya trois doigts, mais cela résistait. Ce n’était pas très agréable.
— Vraiment pucelle... hmmmm, j’vais te déchirer.
Puis il se colla contre moi, sa queue dans ma raie... Il s’appuya un long moment puis se recula et guida le gland dur vers mon trou. Je sentis la forte pression sur ma rondelle.
— J’vais te déflorer comme un gentleman, lentement pour pas traumatiser ta nuit de noces... mais après...
Mais bien qu’il y allât précautionneusement, au moins au début, la taille de la bite était telle que mes mains se crispèrent sur les draps.
— Doucement Juan, doucement. Ça fait mal.
— On dit, Pitié master !
— Pitié master.
Il s’y reprit à de multiples fois, relâchant la pression, renfonçant l’engin... mais chaque fois plus fort... C’était encore plus douloureux que ce que je redoutais... et je me demandais comment des mecs pouvaient prendre leur pied comme ça.
— Ça y est mon chéri, j’y suis, tu sens le gland ? Il est rentré. Maintenant ça va aller.
— Ouf ! Elle est grosse ta bite... ça fait mal... master...
— C’est autre chose qu’un embout de douche en plastique, hein ! Aller plus à fond.
— Aaaaah !
— Crie salope, crie... personne va t’entendre.
— Aaaaaah...... ...
... Aaaaaaaaah..... AAAAAAAAAAAh... Je hurlai quand il enfonça d’un coup toute la queue jusqu’aux couilles.
— Putain ! Elle est bonne ta petite chatte !
Mais j’avais mal, très mal. C’était même insupportable. Je le suppliai d’arrêter, mais plus je suppliais, plus il se déchaînait, me donnant de grandes claques sur le cul.
— Ta gueule. T’arrêtes de gémir ! J’veux d’entendre couiner de plaisir, pas pigner.
Mais moi je n’en pouvais plus. Sa queue allait au fond, je sentais ses couilles sur mes fesses et le plaisir ne venait toujours pas, au contraire. Plus j’avais mal, plus je me crispais. Les insultes pleuvaient.
— J’savais qu’t’aimais ça, petite pute. Dès que je t’ai vu, j’ai compris que tu ne serais qu’une paillasse à foutre... j’ai tout de suite eu envie d’t’éclater le cul... quel pied... J’savais pas que t’étais puceau... bien étroite... tu vas payer de m’avoir fait attendre salope.
C’était trop ! La douleur et la déception me firent venir les larmes aux yeux. Je m’étais imaginé quelque chose de totalement différent, de plus romantique. Mais j’avais peur de le dire de crainte de passer pour une midinette.
Cependant, après avoir demandé grâce une dernière fois et reçu pour toute réponse un très violent coup de queue, Juan me serra la mâchoire dans sa main droite, à me la briser, son visage contre le mien en me couvrant d’ordures et m’intimant l’ordre de ne reparler que pour vanter les mérites de son sexe ravageur qui était censé me donner tout le plaisir du ...