1. Transport en commun


    Datte: 10/07/2023, Catégories: fh, couple, extracon, essayage, voiture, douche, Oral pénétratio, fsodo, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... faisait très sombre. Il venait de me prendre par mon petit trou, la chatte occupée par un de mes godes. Une façon de me donner un plaisir intense, avec une pointe de transgression, même si mon petit trou connaissait depuis longtemps la dureté de la queue de mon mari. C’était venu sans y penser la première fois. Romain me faisait souvent jouir de sa bouche et d’un gode vibrant, et un jour il m’avait enculée avec le gode encore présent.
    
    Est-ce par un cheminement de comparaison que ce soir-là il me l’avait demandé - demande susurrée à l’oreille - manifestement pas assuré que cela ne me choque pas :
    
    — Tu aimes bien lorsque je te prends par-derrière ?
    
    C’était une question dont il connaissait la réponse.
    
    — Oui, bien sûr. Tu sais bien.
    — Je pourrais peut-être essayer moi aussi ?
    
    J’avais été étonnée, mais pas innocente au point d’ignorer que des hommes, pas des homos, mais des « classiques », le pratiquaient. Enfin, c’est ce que je savais de façon livresque puisque même dans des magazines féminins on en parlait.
    
    On avait essayé. On avait recommencé.
    
    Viens ! me dit la main qu’il tend vers moi. J’entre dans la douche. Le jet, façon pluie, m’enveloppe comme il enveloppe et chasse le savon du corps de mon mari. Nos peaux ruisselantes se touchent. J’ai une pensée que je chasse aussitôt de ce que la visite de Damien a provoqué. Il m’enveloppe de ses bras. Ses mains se démultiplient caressant mon corps avec frénésie. Je sens contre mon ventre son bâton de chair. Je le ...
    ... palpe avec ma main. Ce simple contact le fait gémir. Je me baisse, je m’agenouille. La pluie cesse ou plus exactement la tête de mon mari qui me suit du regard me fait un parapluie. Sans le toucher avec les mains, ma bouche s’empare du gland. Il fleure bon l’amande, saveur abandonnée par le savon. Mes lèvres avancent. Elles décollent le mandrin du ventre pour, une fois agenouillée, me le rendre plus accessible. Elles avancent encore, mais bien vite ma gorge refuse d’en prendre plus. Si la dureté de la queue est un bonheur lorsqu’elle me possède, elle rend impossible toute gorge profonde, car elle se refuse à toute souplesse.
    
    Une minute peut être de ce petit jeu de bouche, sans oublier de bien envelopper ses bourses de ma main, et de l’autre, chatouiller son petit trou, et puis il m’invite à me lever. Je retrouve le contact de son corps. La pluie a cessé. Il m’embrasse, un baiser comme… Non, non, ne pas mélanger les genres… Laisse Damien… Plus tard peut-être… Pense à ton mari.
    
    Un mari qui me soulève comme une plume pour me faire redescendre sur ce que je viens d’abandonner et qui s’est redressé, pieu vertical que ma fente rencontre et qui m’envahit sans coup férir. D’instinct, je me suis accroché à lui, mes bras autour de son cou, mes cuisses qui étreignent sa taille et je remercie ses poignées d’amour de me servir de « butées ».
    
    Un pieu sur lequel il me laisse descendre rapidement, une cheville qui nous unit au point que ses mains sur mes fesses se font légères. Le ...
«12...789...21»