Claire se dévoile
Datte: 05/07/2023,
Catégories:
f,
ff,
Collègues / Travail
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
confession,
lesbos,
Auteur: Polgara, Source: Revebebe
... journée passe, avec en permanence cette « invitation » qui tourne dans ma tête, et je me demande si elle aussi, elle y repense… Évidemment, elle a tant dû prendre sur elle pour oser ! D’ailleurs, elle doit certainement douter en ce moment… Aucune réaction de ma part depuis ce matin, aucune occasion d’échanger à nouveau, et j’ai soudain peur qu’elle regrette de s’être dévoilée. Je m’en veux de n’avoir pas saisi au vol ses propos et de la laisser dans cette éventuelle gêne. Aussi, lorsqu’elle s’apprête à partir en même temps que d’autres collègues, je lance un au revoir à la cantonade et, en me tournant vers elle, avec un clin d’œil je promets « la suite de l’histoire ».
Je finis rapidement mon travail le plus urgent et prends moi aussi le chemin du retour à mon domicile. J’ai 35 kilomètres à faire, en priant pour que la circulation ne retarde pas trop mon allure. Au volant, je conduis en rêvant, me surprenant de pensées légères et osées vis-à-vis d’elle, alors que jamais je n’avais ressenti d’attirance pour un corps féminin. J’aime les hommes, je n’ai pas véritablement de définition d’un physique type, car je craque pour le charme auquel je suis sensible, mélange de masculinité et de délicatesse, mes phéromones et les leurs faisant leur travail comme il se doit.
Mais ce soir, l’image de cette femme, d’une personnalité discrète et enjouée, avec sa silhouette bien dessinée m’interroge. Mes pensées se portent sur son visage et la simplicité qui s’en dégage. Ses yeux ...
... rieurs seraient-ils plus coquins que je ne l’imaginais ?
Puis c’est sur sa poitrine que je m’attarde. Et là, j’en rougirais presque, car avec ce regard neuf sur elle, je me rappelle avoir déjà trouvé qu’elle avait un joli décolleté. Par mon manque d’attrait pour la gent féminine ainsi que par le mode de nos relations, je n’y attachais pas plus d’importance que cela… Ce soir par contre, je repasse dans les moindres détails ses chemisiers bien tendus sur ses deux seins, et je me pique d’un désir d’en voir plus.
J’imagine plus nettement sa silhouette, avec sa poitrine et son buste bien redressé qui lui fait honneur. Elle a certainement pour le regard des hommes un côté désirable, étant tous les jours tirée à quatre épingles dans des tenues strictes, mais très féminines. Je suis perturbée, mon esprit galope. Je la revois, recevant les clients, souriante et affable, son bureau masquant le bas de son corps concentrant ainsi l’attention sur son visage et son torse. Je me souviens aussi de l’admiration de certains visiteurs lorsqu’elle se levait et devait vaquer à quelques occupations dans l’espace d’accueil, sa jupe droite la moulant, et ses talons rehaussant la cambrure de ses reins.
Je m’amuse à la déshabiller dans mes songes et l’imagine assise à son poste de travail, bien droite comme elle l’est toujours, mais avec son chemisier béant, ses seins accueillant le regard… Bien que fière, elle est juste un peu gênée pour que le charme de la scène soit complet. Cette vision me ...