1. Le Naïf, Alan


    Datte: 03/07/2023, Catégories: hh, jeunes, copains, vacances, campagne, caresses, nopéné, init, journal, gay Auteur: Dommi, Source: Revebebe

    ... toi.
    
    Puis d’un ton plus solennel :
    
    — Alan, j’espère que tu apprécies d’être ici, le calme, le soleil, j’aime ce cadre en cette saison, déjeuner décontracter, nu en ta compagnie, c’est très agréable, excitant même. Tu as remarqué comme je suis excité.
    
    Un ange passe.
    
    — Ah, oui, oui, vraiment très agréable, je vais aller voir ma sauce.
    
    Ouf, je m’en tire bien, que pouvais-je lui répondre ! Je ne comprends pas ce qui se passe et pourquoi il est sans arrêt excité. Dès que je la vois, je suis médusé !
    
    Je relance l’eau des pâtes et réchauffe la sauce bolo, je prépare nos assiettes pour les pâtes, le ramequin pour le parmesan et je retourne vers la table pour desservir les assiettes de l’entrée.
    
    Je me dirige vers Philippe, je me penche pour prendre son assiette et nouveau flash, elle est fièrement dressée. Son érection me perturbe, je tente de fermer les yeux pour continuer mon service, au moment précis où sa main vient se glisser entre mon boxer et ma cuisse, l’effleurant subtilement, une caresse furtive qui monte jusqu’à mes petites bourses puis s’évapore. J’ai une sorte de vertige, je me cabre, un frisson me parcourt, je tente de ne rien laisser paraître, j’en suis incapable. Je bégaie à moitié,
    
    — Philippe, je prends les assiettes, tu as terminé.
    — Oui tu peux,
    
    Ouf, enfin je m’extrais et repars vers la cuisine, liquéfié, je suis ko debout.
    
    J’arrive dans la cuisine, quelle honte, mon short trop petit laisse apparaître une formidable érection ! (Enfin ...
    ... pour moi) Je pose les assiettes, je suis tourneboulé. Que m’arrive-t-il ? Je suis excité, moi l’hétéro vierge, ému par une érection, un attouchement, perturbé par ce mâle phallocrate. Je plonge la tête sous le robinet, j’ai un besoin vital de me rafraîchir. Puis de nouveau je m’affère : l’eau à bouillir, les pâtes, la sauce, le parmesan. Je dresse les assiettes, me charge et regagne le jardin et Philippe.
    
    Je lui sers son assiette, au prix d’un effort surhumain, j’évite de croiser du regard la bête lubrique. Enfin, j’y réussis, je m’assois, Philippe savoure, il apprécie ma cuisine, me félicite obséquieusement, Philippe est hors norme, même pour les compliments, il ajoute,
    
    — Un véritable cordon-bleu, tu es la fée du logis.
    — Comment ça, une fée ?(Le naïf)
    — Oui une fée, j’ai vu ta jolie baguette magique toute dressée dans ton boxer lorsque tu as desservi.
    
    Je suis écarlate, démasqué, humilié, comment justifier mon état ? Quelle honte ! moi l’hétéro puceau, je suis excité à la vue d’une queue et en plus celle de Philippe. Lui, serein, il lit parfaitement mon malaise.
    
    — Alan, tout va bien, aucun malaise, ne sois pas honteux, nous sommes entre nous. Ne sommes-nous pas de la génération de la libération sexuelle, pourquoi lutter contre tes désirs ? Moi, je te l’avoue, tu me fais envie, regarde la preuve comme tu me fais bander, Alan, détends-toi, laisse-toi aller et fais-moi plaisir vire ce boxer, laisse ton sexe libre d’afficher ton désir, laisse-moi te voir bander pour ...
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