La bonne, la brute et la toubib
Datte: 10/09/2018,
Catégories:
f,
ff,
fsoumise,
Masturbation
massage,
intermast,
Oral
Lesbienne
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... ton violon et buvons cette tisane ! Par contre, pour dormir, à moins que cela te dérange vraiment, tu devras dormir avec moi. Ma chambre d’ami sert de dépotoir. Y’a pas de piège. Si ça te gêne, on s’arrangera avec les fauteuils.
— Je veux bien dormir avec toi, à une condition.
Un sourire malicieux éclaira le visage de Marie-Jo.
— Laquelle ?
— Que tu me serres dans tes bras. Y’a pas de piège non plus, mais j’ai peur d’être seule cette nuit.
Ainsi fut fait : le lit n’avait rien d’un lit orgiaque, c’était un de ces vieux lits étroits aux montants de bois qu’on voyait dans les chambres de nos grands-mères. Les deux femmes n’avaient guère le choix : la géographie du lit les jeta dans les bras l’une de l’autre. Marie-Jo se blottit contre le corps rassurant de la toubib et, brisée par toutes ces émotions, s’endormit comme un bébé. Sentir ce corps abandonné contre le sien éveillait des sensations inconnues. Maxine était une fille sage. Les hommes ne l’intéressaient que modérément et les femmes pas du tout. Ce désir qui bouillonnait en elle la perturbait. Chaque frémissement de son amie provoquait des réactions révélatrices : ses tétons durcissaient, son entrecuisse s’humidifiait, une envie irrépressible de caresser, de baisouiller cette peau la parcourait. Cela ne lui posait aucun problème moral. Elle était seulement intriguée, étonnée. Malgré tous ses efforts, Sylvie n’avait jamais réussi à la mettre dans son lit. Mais là c’était différent. Le sommeil finit par la ...
... gagner.
Elle fut réveillée par un doux frôlement sur sa joue. Ouvrant les yeux, elle découvrit un visage souriant. Marie-Jo d’une main timide caressait sa joue. Quand elle vit Maxine planter les yeux dans les siens, elle murmura :
— Merci.
Cela se fit sans réflexion, sans intention, Maxine sortit son bras de sous la couette, posa sa main sur la nuque de Marie-Jo, leurs lèvres se rencontrèrent…
*********
Épilogue :
Quand Marie-Jo regagna ses pénates, en compagnie de Maxine qui avait refusé qu’elle rentre seule, les valises avaient disparu. Un dernier post-it était affiché sur la porte, avec un seul mot : Connasse ! Elle ne la revit jamais. L’été qu’elles avaient partagé fut torride, spécial. Sylvie fut une passion dévastatrice…
Avec l’aide de Maxine, dans les semaines qui suivirent, elle mit tout sur la table et tria. Elle comprit que ce qui l‘avait attirée chez Sylvie, outre ses atouts sexuels, était la parenté de caractère avec Jean-Frédéric. C’était devenu une seconde nature d’être un jouet qui devait exécuter tous les désirs de son partenaire. Elle avait failli devenir la putain que Sylvie aurait vendue au gré de sa folie. Mais quelque part, elle pouvait la remercier, car en tentant de la prostituer, elle avait brisé le cercle. Elle lui avait appris beaucoup de choses sur elle, elle lui avait permis de se libérer de toute emprise externe et… elle lui avait présenté Maxine.
Grâce au régime, que cette dernière lui avait concocté, elle avait perdu 17 kg, ...