La bonne, la brute et la toubib
Datte: 10/09/2018,
Catégories:
f,
ff,
fsoumise,
Masturbation
massage,
intermast,
Oral
Lesbienne
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... qu’elle avait essayé de la prévenir. Elle n’avait pas voulu entendre. Elle lui avait fait entrer son numéro personnel dans son répertoire au cas où…
Elle stoppa de nouveau sur le bas-côté, sortit fébrilement son portable et l’appela. Elle ne savait vraiment pas à quoi s’attendre, mais elle ne savait plus à quoi se raccrocher. Maxine ne tergiversa pas, ne posa pas de question. Elle lui donna son adresse perso, lui dit qu’elle l’attendait.
Lorsque Marie-Jo, enfin sa Punto, pénétra dans l’allée qui menait à la maison de Maxine, il était plus de 22 heures. Étonnamment, Marie-Jo avait retrouvé une grande partie de son calme. Elle avait retrouvé une certaine sérénité. Maxine l’attendait. Au premier coup de sonnette, la porte s’ouvrit. Marie-Jo eut une brève hésitation. Maxine n’était pas seule. Qui était cette magnifique jeune femme ? Elle se trouva soudain très bête quand elle réalisa que c’était bien sa toubib. Les cheveux dénoués, l’absence de la stricte blouse blanche révélaient un corps voluptueux. Pourtant elle ne brillait pas par son élégance : elle portait une espèce de long t-shirt informe qui, s’il ne cachait pas grand-chose de ses rotondités, ne la mettait guère en valeur. Bref flash comparatif : dans un autre format, un peu plus petite, avec des formes plus épanouies, elle avait autant de chien que cette garce de Sylvie. Marie-Jo se morigéna :Elle ne pensait qu’à ça ! C’était vraiment pas le moment !
Souriante, Maxine la conduisit dans le salon. Une pièce ...
... douillette, au charme suranné, où trois murs sur quatre disparaissaient derrière une immense bibliothèque. Elles s’assirent, face à face, dans de profonds et confortables fauteuils. Ne s’embarrassant pas de circonvolutions compliquées, elle prit la main de Marie-Jo et dit :
— Maintenant, raconte-moi tout !
Marie-Jo lui raconta tout avec un calme inquiétant, pas seulement l’épisode fatidique, mais toute l’histoire, tous ses errements, toutes les humiliations qu’elle avait subis. Arrivée au bout de son récit, ses nerfs lâchèrent et elle éclata en sanglots. Maxine, qui jusqu’à là, s’était contentée de serrer, de plus en plus fort, la main qu’elle tenait, se leva, enlaça Marie-Jo, pressa sa tête contre sa poitrine en lui caressant maternellement les cheveux. Cette crise de larmes libératoire se tarit rapidement.
Se comportant comme une mère, ou comme une grande sœur alors qu’elle était bien plus jeune que Marie-Jo, Maxine l’envoya prendre une douche pendant qu’elle lui préparait une tisane. Lorsqu’elle revint, Maxine s’exclama :
— Wouah ! Je te retrouve ! Tu es vraiment très belle !
Était entrée dans la salle de bain, une femme échevelée, au visage dévasté par les coulures de rimmel, à la tenue débraillée. En revenait, une Marie-Jo, fraîche, le regard brillant, dans une nuisette affriolante.
— Sylvie a fait une bonne chose : elle t’a permis de retrouver ta beauté.
— Pas seulement : elle m’a présentée à toi. Sans toi, ce soir, je ne sais pas où je serais.
— Range ...