1. La bonne, la brute et la toubib


    Datte: 10/09/2018, Catégories: f, ff, fsoumise, Masturbation massage, intermast, Oral Lesbienne Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... un téton rendu dur comme du fer par ses manigances. Quand elle passa à la dernière manipulation, ce fut l’affolement. Elle s’était débrouillée, pour coincer la tétine entre l’index et le majeur. Lorsqu’elle remontait le néné, elle prolongeait son mouvement plus haut que Maxine, bien plus haut, étirant le téton au maximum, à la limite de la douleur. Marie-Jo ne pouvait résister à un tel traitement surtout que Maxine l’avait déjà bien allumée. Sa respiration se brisa. Elle haletait comme un jeune chiot.
    
    Dans un état second, elle jeta un regard affolé à Maxine, adossée à son bureau, rouge comme un coquelicot. Elle se redressa et s’approcha. Marie-Jo eut une brève pensée :Je vais y passer. Cette salope allait la faire baiser. Son cerveau disait non, mais sa vulve avait déjà dit oui. Elle ne saurait jamais si elle aurait accepté, car soudain, Maxine, attrapa les bras de Sylvie, lui déclara sèchement :
    
    — Ça suffit. Si vous baisez ensemble grand bien vous fasse ! Mais pas ici ! En plus je ne crois pas que Marie-Jo ait vraiment envie de se donner en spectacle.
    
    Marie-Jo la remercia silencieusement en tentant de reprendre une contenance décente.
    
    — Désolé, Maxine, roucoula-t-elle faussement ingénue, je me suis laissé prendre au jeu.
    — Pas avec moi, ma vieille. Je te connais trop. Des manipulatrices comme toi, j’en connais guère. Marie-Jo, tu peux te rhabiller, je te fais une ordonnance.
    
    Elle se précipita sur ses fringues. Ce jour-là, elle comprit entre le rets de qui ...
    ... elle était tombée. En rentrant à l’appart, elle regimba, Sylvie la traita de conne, plus exactement de grosse conne.
    
    — Je me décarcasse pour que tu aies l’air présentable et y’a du boulot. Et toi, tu trouves rien de mieux que de t’en prendre à moi.
    — T’es chiée quand même, t’as vu comme tu m’as traitée.
    — Comme je t’ai traitée ? Dis-moi que t’as pas aimé ? C’est pas moi qui coulais comme une fontaine.
    
    Elle s’était mise à hurler. Les gens se retournaient sur leur passage. Certains ricanaient. Marie-Jo ne savait plus où se mettre. Mais l’autre salope continuait.
    
    — Et Maxine, t’as vu comme tu la regardais ! T’es vraiment une grosse salope !
    — Moins fort, s’il te plaît ! dit Marie-Jo en la cramponnant par le bras.
    
    Malgré cette supplique, elle poursuivit :
    
    — Tes yeux criaient :- Je veux que…
    
    Marie-Jo n’en pouvait plus. Elle traversa la rue précipitamment au risque de se faire écrabouiller. Elle courut comme une dératée jusqu’à son appart. Quand Sylvie se pointa, elle la trouva sur son lit sanglotant en étreignant son oreiller. Craignant que sa proie lui échappe, elle s’excusa. Tout se termina par une séance de baise fantastique. Mais c’était le début de la fin. Elle l’avait vraiment ridiculisée. Si Maxine avait été de la même trempe, Marie-Jo ne savait pas ce qui serait arrivé. Elle voulait bien être sa salope dans leur relation de couple, mais pas une pute qu’elle offrait à qui bon lui semblait. Maxine lui avait entrouvert les yeux. Une dernière mésaventure ...
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