1. Bonjour Philippe


    Datte: 25/06/2023, Catégories: fh, fhh, extracon, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, couplea3, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... foutre dans les profondeurs de ma femme. Alors je l’accompagne dans sa jouissance.
    
    — Aaah non ! J’en peux plus ! Ah nooon ! Aaargh !
    
    Une tripe jouissance, un accord parfait, une harmonie enchanteresse des corps…
    
    Avant de sombrer dans une demi-mort, je me dis que je me souviendrais longtemps, très longtemps de cette soirée. Ce n’est pas la première fois que je fais des trios, mais celui d’aujourd’hui restera dans les annales (ou dans les « anales », c’est selon).
    
    Puis toujours fiché vicieusement en elle, je sombre définitivement.
    
    Comme Caro souhaitait me parler en privé, nous sommes dans la cuisine, Philippe étant resté dans le salon, en train de récupérer. Avec un soulagement évident, Caro ôte son bandeau, elle secoue la tête. Puis elle allume la lumière, elle cligne des yeux, moi aussi, puis elle attaque :
    
    — Je ne sais toujours pas qui c’est, et à chaque fois que je commence à avoir une petite idée, ce n’est pas concluant. T’es vraiment sûr que je le connais ?
    — Pourquoi veux-tu savoir à tout prix ?
    — C’est mon corps, et je ne l’offre pas à n’importe qui, donc j’ai le droit de savoir.
    — Je te rassure, mon amour, je m’arrange toujours pour t’offrir ce qu’il y a de mieux.
    
    Elle acquiesce de la tête, s’appuyant contre le réfrigérateur :
    
    — En tout cas, aujourd’hui, tu as bien choisi. C’est bien l’une des premières fois que je tombe sur un homme qui me désire de la sorte. Il est amoureux de moi ou quoi ?
    — Pose-lui franchement la question, Caro. Je ...
    ... savais qu’il avait un faible pour toi, mais j’ignorais que c’était à ce point.
    
    Les yeux rivés au plafond, elle devient pensive :
    
    — Celui-là, j’ai bien envie de le conserver dans mon carnet d’adresses. La plupart du temps, les hommes, qui viennent ici, viennent pour baiser, point barre. J’aime le désir que je sens en eux, mais je serais brune ou blonde, à gros nichons ou à petits lolos, naine ou géante, peu importe pour eux. Avec Alex, c’est différent, c’est vraiment moi qu’il désire, pas une poupée gonflable.
    
    Lentement, je m’approche d’elle :
    
    — Je comprends ce que tu veux dire… Tu n’as pas peur qu’il s’attache un peu trop…
    — Une chose à la fois, s’il te plaît. Oui, il y a un risque, mais cet Alex, j’ai envie de le revoir. Honnêtement, Fabrice, ça te pose un problème ?
    — Dans l’absolu, non. Mais j’ai un peu peur que tu t’attaches trop à lui…
    
    Rassurante, elle pose sa main sur ma joue :
    
    — Rassure-toi, mon chéri, c’est toi que j’ai épousé, c’est toi que j’aime, c’est avec toi que j’envisage de vivre toute ma vie. C’est toi mon mari et pas un autre. Les autres hommes, c’est juste pour le fun, tu le sais très bien.
    
    Je capture sa main pour y déposer un baiser :
    
    — Merci…
    — Tu n’as rien à craindre. Mais cela dit, quand on tombe sur ce genre d’amant, on comprend mieux des tas de choses.
    — C’est-à-dire ?
    — Tu es mon homme à moi, mais me laisser adorer par un autre homme, ça me plairait bien. Je ne vais pas faire des plans sur la comète, mais je me verrais bien ...