Le piège. (17)
Datte: 22/06/2023,
Catégories:
Transexuels
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... main me caresse les fesses, écarte mes deux globes et joue avec mon petit œillet. C’est Henri et il m’explique
- Je vais bien te lubrifier d’un doigt et t’enduire de vaseline. Après, tu n’auras plus qu’à te laisser faire !
De son index agile, il me titille l’anus, glisse une phalange, me taraude, m’alèse et je sens le lubrifiant froid qui assouplit ma rondelle. J’espère ne pas trop souffrir sous les assauts de ces fougueux blacks en manque de femelles.
A peine le doigt s’est-il retiré que je devine un gland qui se présente pour la première saillie africaine. J’espère que mon maître a choisi le moins gros. On me prend fermement par la taille et le gland encapuchonné commence à me pénétrer avec lenteur. J’essaye de ne penser à rien pour n’être qu’une simple poupée gonflable que l’on baise. Par de petits mouvements rapides, mon enculeur progresse dans l’étroit boyau qui s’ouvre devant lui. L’homme gémit de plaisir ; j’imagine que mon petit cul serré doit être un ravissement pour lui.
Une fois qu’il a investi entièrement les lieux, il marque un temps d’arrêt ; très certainement pour me laisser m’habituer à cette grosse queue qui me dilate comme je ne l’ai jamais été. La pause est cependant de courte durée. Le marteau piqueur se met en route et toute ma croupe tremble sous les coups de queue qu’il me donne.
Celui que je suce et celui qui me baise ont maintenant bien coordonné leurs mouvements et je ne suis pour eux qu’une petite pute qu’ils peuvent embrocher de part ...
... en part. Ils y vont de bon cœur et il m’est impossible de gémir, de plaisir ou de douleur.
A ce moment, Thierry entre dans la pièce et demande à Henri
- Alors, ce baptême du feu ?
Henri lui répond
- La petite Davina se comporte comme il se doit, une vraie professionnelle du sexe. Elle a tout pris, pourtant c’est du gros !
Son copain lui répond
- Super ! Les copains d’Abdel, le gérant du foyer, ne seront pas venus pour rien.
Tandis que les deux hommes continuent à discuter, les blacks changent de place et au bout d’un moment je ne sais plus qui je suce et qui me baise. Mais eux le savent et c’est l’essentiel !
Entre les grosses paluches de ces blacks et sous leurs puissants coups de bite, je ne suis plus qu’un objet de plaisir et de luxure. Ils en profitent et la situation n’est pas pour me déplaire. Dans mon délire sexuel, j’en viens même à imaginer que je pourrais amener ma mère ici, le week-end où c’est mon tour, pour la livrer à tous ces blacks.
Les flots de foutre remplissent les capotes et les corps fourbus se séparent. Dans le petit salon, il n’y a maintenant plus que Henri et moi. Il me dit
- Maintenant, je vais offrir un petit cadeau à un ami.
A peine a-t-il fini sa phrase que son copain Gilbert, que j’ai eu le plaisir de rencontrer avec son pote Christian chez Henri, entre dans la pièce. Je me souviens bien de lui car, lors de notre première rencontre, Henri m’a expliqué que le plaisir de Gilbert s’est de sucer et de vider les queues ...