Le piège. (17)
Datte: 22/06/2023,
Catégories:
Transexuels
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... prêtresse de son choix. Quand à moi, petite salope en formation, je sais que je ne serai que l’offrande de monsieur Dubout aux monstres d’ébène.
L’intensité de la lumière est baissée dans le grand salon et les airs de musique se font plus sensuels. Les deux hôtesses apportent une grande fontaine de punch et la boisson coule à flots dans les verres. L’alcool et la musique enivrent le corps et l’esprit. Les danses se font plus lascives, les mains plus baladeuses et les corps plus proches. Henri m’invite à danser et montre aussitôt que je suis sa petite salope. Sa bouche s’empare de la mienne, il me caresse ostensiblement les fesses et son bas-ventre se frotte au mien. Comme parade érotique, on ne fait pas mieux !
Après une bonne dizaine de minutes, il m’entraîne vers le couloir tout en faisant un petit signe à quelques mâles. Dans la pénombre qui mène aux différents petits salons, des mains se tendent déjà vers moi. J’imagine les sexes tendus et les couilles pleines qui ont hâte de passer aux choses sérieuses.
Henri me fait entre dans une petite pièce où trône un grand lit en bambou. Ils sont quatre ou cinq blacks, plus tout jeune, à se presser de chaque côté du lit qui, dans quelques secondes, ne sera que l’autel du plaisir. Mon maître me fait retirer mon chemisier, puis ma mini jupe et enfin mon string. Il me demande de me mettre à quatre pattes sur le lit, prête à être honorée comme je le mérite.
Les blacks se mettent à poil. Mon dieu, ils ont des bites énormes ...
... ! J’ai peur d’avoir mal et d’être éventrée. Mais les voilà déjà sur le lit, je ne peux plus leur échapper. Leurs grosses mains calleuses se promènent sur mon corps, des pieds jusqu’à la tête. Leurs bouches se font curieuses, sur mes tétons, mes épaules et mon cou. Henri distribue les préservatifs puis se penche vers moi et me dit à l’oreille
- Je sais que ce sont des gars que Thierry fait venir d’un foyer situé dans le 18ème arrondissement. Ils bossent en France mais leurs familles sont en Afrique. Autant te dire qu’ils ne baisent pas souvent !
Deux énormes queues encapuchonnées se présentent devant ma bouche. J’hésite mais une grosse main se plaque derrière ma tête et me force à emboucher une première bite. J’étouffe, je suffoque mais le pieu d’ébène continue à coulisser entre mes lèvres comme si rien n’était. Petit à petit, ma bouche s’habitue à cette grosse queue et, au bout de quelques minutes, le gland cogne au fond de ma gorge. Constatant que je suis habituée à ce calibre inconnu jusqu’alors pour moi, l’homme se retire et cède la place à son copain. Ce nouveau chibre est un peu moins épais que le précédent et mes mâchoires peuvent se reposer. Cependant, cette bite est plus longue que la première et j’ai l’impression qu’il va me transpercer le gosier. Mais qu’importe, il a pris son rythme et me besogne sans même penser qu’il pourrait m’étouffer en allant aussi profond. Seul son plaisir compte, et je suis là pour ça !
Derrière moi, on ne reste pas inactif. Une ...