1. Le piège. (17)


    Datte: 22/06/2023, Catégories: Transexuels Auteur: hélène75, Source: Xstory

    En ce début de semaine, je ne cesse de penser au contrat passé avec mère et je crois bien que je me suis fait avoir. Au premier abord, pouvoir user et abuser de ma mère comme je le souhaite tous les quinze jours n’est pas une mauvaise affaire. Si elle respecte sa part du marché, et je ne vois pas pourquoi en douter, elle acceptera tout ce que je souhaite lui faire. Elle m’a déjà dit que je pourrai l’emmener en sauna et il n’y a pas de raison que je ne puisse pas renouveler la chose dans quelques lieux chauds de Pigalle. Je m’imagine déjà la sortant et l’exhibant dans des sexe shop, des boutiques de lingerie érotique et autres cinémas X. Comme j’ai une imagination débordante et suis curieux d’explorer toutes les facettes du libertinage, je me dis que j’aurai de nombreuses occasions de satisfaire mes envies tout en profitant des charmes maternels.
    
    Mais d’un autre côté, force est de constater que je suis obligé de rester encagé pendant quinze jours et je sais déjà, compte tenu de l’expérience du mois écoulé, que c’est long. Par ailleurs, lorsque ce sera au tour de ma mère d’user et d’abuser de moi, ne risque-t-elle pas de passer son tour ? Ne risque-t-elle pas de se contenter d’un massage sensuel et d’un rapide cunnilingus ? Si tel est le cas, je ne pourrai donc pas la baiser et cela ne fera que rendre plus contraignant le port de la cage de chasteté.
    
    Finalement, l’envie de soumettre ma mère à mes envies est la plus forte et je décide de faire contre mauvaise fortune bon ...
    ... cœur. Réussir à faire de ma mère ma petite salope me semble finalement si excitant que je veux bien prendre le risque d’être encagé quinze jours sans pouvoir me masturber ou baiser.
    
    En ce mardi après-midi, dans le cadre de nos cours à la fac, j’assiste en amphi à la conférence d’un philosophe sur le thème « Erotisme et philosophie ». Bien évidemment, devant un auditoire de jeunes gens avides de tout, le sujet est des plus brûlants. Au cours de la conférence, le philosophe dit la chose suivante qui m’interpelle «Il n’y a érotisme que lorsqu’il y a transgression ; c’est pourquoi il n’y a pas d’érotisme chez les animaux. Il n’y a transgression que s’il y a interdit ; il n’y a interdit que s’il y a morale ; et seuls les humains sont capables de morale, donc de transgression. C’est pourquoi seuls les humains sont capables d’érotisme. Jouir du corps d’un autre, ce n’est jamais totalement innocent ni anodin. C’est pourquoi c’est si bon. »
    
    A eux seuls, ces propos résument pourquoi c’est si bon de jouir avec ma mère ou avec monsieur Dubout. Lors de ces relations incestueuses ou lorsque je me travestis, je transgresse la morale et j’accède à l’érotisme, donc au plaisir.
    
    Soudain mon téléphone portable vibre dans ma poche ; c’est un message de Henri. Quelle coïncidence en plein cours sur l’érotisme !
    
    Il m’écrit « Chère Davina, je t’espère bientôt libre. Très envie de retourner au Provence avec toi ». Discrètement je lui réponds « Je vous tiens rapidement au courant ». Cela ...
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