1. Cascade.


    Datte: 21/06/2023, Catégories: fh, copains, vacances, piscine, forêt, fsoumise, vengeance, Oral pénétratio, fsodo, attache, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... laissé emporter. À ce propos ni lui, ni toi, n’avez envisagé de vous protéger.
    — Euh !
    — Donc, cela signifie que vous aviez déjà… Depuis suffisamment longtemps… Pour avoir confiance… Donc tu mens lorsque tu dis que c’est juste par hasard. Vous êtes amants depuis bien plus longtemps. Avoue-le. Je préfère presque savoir que vous baisez depuis longtemps que d’imaginer que ma femme baise sans capote dès la première fois. Au risque de me contaminer… Alors, je répète, depuis quand ?
    
    Elle hésite. Elle est coincée. Elle doit reconnaître que j’ai raison et que cela l’oblige à avouer une infidélité qui date. Mais avouer, c’est aussi faire la part du feu. Surtout ne pas impliquer le couple et tout ce qui va ensemble.
    
    — Deux mois.
    
    Elle aurait pu dire un, autant deux, que trois ou quatre. Aucune différence.
    
    — Donc tu me trompes avec cette figure de sport depuis tout ce temps. Qu’est-ce qu’il a de plus que moi ? Il te fait mieux jouir ?… Tu ne réponds pas. Tu as honte. Tu peux. Cela ne se passera comme cela.
    
    Le téléphone sonne. C’est Maryse. Je décroche. Sa voix remplit l’habitacle.
    
    — Allo ! Jean ? Allo !
    — Oui, je suis là.
    — Qu’est-ce qui se passe. Roland vient de nous appeler. C’est vrai qu’il ne peut pas rentrer dans la maison ? Que vous êtes parti ?
    — Oui.
    — Mais pourquoi ?
    — Il ne t’a pas expliqué la raison ?
    
    Un silence. Et puis c’est Louis qui prend le combiné.
    
    — Jean. Je comprends ce que tu ressens. Cela doit être violent.
    — Oui.
    — Mais est-ce que ...
    ... cela demande une réaction si forte ? Armelle a fait une erreur. Je ne l’excuse pas, mais cela peut arriver. Roland a dû lui faire son grand jeu, il est comme ça, il ne peut pas s’empêcher de chercher à séduire.
    — Alors il est très fort. En moins de vingt minutes dès qu’ils m’ont cru parti ils ont commencé.
    — Ah !
    
    Je regarde Armelle qui suit notre entretien.Tu me laisses faire le naïf pendant encore longtemps ? Elle comprend.
    
    — Jean sait tout…
    
    Et puis elle se rend compte que le « tout » peut inclure bien plus que ce que je suis censé avoir découvert, sa coucherie avec Roland.
    
    — … que je suis la maîtresse de Roland depuis deux mois.
    — Ah !
    
    La voix de Louis suivie par celle de Maryse :
    
    — Jean, d’accord c’est désagréable d’apprendre ça, mais ta réaction… Si tu veux, je peux demander à Roland de quitter la maison, mais il faut que tu lui donnes les clés pour qu’il puisse récupérer ses affaires.
    — Vous étiez au courant. Je le sais, elle me l’a avoué. Pire, c’est chez vous qu’ils se rencontraient.
    
    Je sais que ce n’est pas la vérité, mais une partie déformée qui les met en porte à faux.
    
    — Reconnaissez-le et je verrai.
    
    Un long silence. Armelle pleure. Et puis :
    
    — C’est vrai, mais ce sont mes amis… avoue la garce de Maryse.
    
    Je coupe la liaison. Trois secondes et un appel. Je ne réponds pas. Ils recommencent. Trois fois, puis abandonnent.
    
    — Ils feront moins les malins lorsqu’ils vont revenir demain.
    
    Armelle me regarde.
    
    — Pourquoi tu dis ça ? ...
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