1. Cascade.


    Datte: 21/06/2023, Catégories: fh, copains, vacances, piscine, forêt, fsoumise, vengeance, Oral pénétratio, fsodo, attache, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... Il ne leur viendra pas à l’idée que je sais tout. Même si Roland raconte comment je l’ai possédé ce matin, ils penseront que j’ai voulu réessayer comme avant mon mariage.
    
    Non, je veux voir ma femme lorsque je vais lui mettre sous les yeux ses infamies. Comment elle va se défendre ! Comment elle cherchera à se justifier ! La confondre tout en restant de marbre ! Lui montrer qu’elle a tout gâché ! Que plus rien n’est possible !
    
    Nouvel appel.
    
    — Oui, j’arrive. Attendez-moi devant le porche, il faut que je reparte après.
    
    Ils sont là tous les deux.
    
    — Chérie, monte je veux te montrer un truc sympa.
    
    Elle ne réagit pas.
    
    — Monte, on en a pour deux minutes et on revient.
    
    Le ton est plus sec et la portière que je viens d’ouvrir accompagne ma demande.
    
    Elle monte.
    
    — Mais je suis en maillot.
    — Pas grave, juste pour deux minutes.
    
    Je vais repartir, mais Roland se met devant la voiture.
    
    — Eh mec, tu oublies les clés.
    — Ah oui, elles sont sous le pot de géranium.
    
    Il me laisse la place et je démarre.
    
    — Qu’est-ce que tu veux me montrer ? demande Armelle.
    — Juste une minute. J’attends un appel.
    
    En effet le téléphone sonne.
    
    — Mais c’est Roland ? s’étonne mon épouse.
    — Oui, décroche.
    — Mais mec, je ne trouve pas les clés, dit le gars manifestement en colère.
    — C’est bien normal, elles ne sont pas là. Je les ai jetées.
    — Jetées ?
    — Oui, je me suis dit qu’après avoir baisé ma femme, une nuit au clair de lune te ferait du bien.
    
    Je sens le ...
    ... regard de ma femme qui me fixe.
    
    — Mais de quoi tu parles. Jamais je n’ai… Armelle, dis-lui… C’est quoi, ces conneries.
    — Jean, je ne comprends pas, pourquoi inventer une chose si horrible. Jamais je n’aurais…
    — Roland, tu veux bien attendre une seconde. Juste un truc à montrer à Armelle.
    
    Les photos sont sans appel. Je les fais dérouler sous les yeux de ma femme. Elle est sidérée. Elle voudrait parler, mais aucun son ne sort de ses lèvres.
    
    — Dis-lui.
    
    Je demande en fixant mon épouse d’un regard qui ne supporte pas la contradiction.
    
    — Roland !
    — Oui ?
    — Il… il sait tout… Il a pris des photos…
    — Oh !
    
    Alors je lâche :
    
    — Bonne nuit, Roland. Attention de ne pas prendre froid.
    
    Je me suis arrêté sur une place de stationnement sur le bas-côté de la route. Le silence est si lourd qu’il en ait étouffant.
    
    — Jean… je m’excuse… Je sais que c’est grave, mais…
    
    Je ne dis mot. Je la fixe des yeux, mais elle ne soutient pas mon regard.
    
    — Oui, raconte-moi comment c’est possible…
    — Je ne peux pas expliquer. Un coup de folie. Cette nuit tu m’as montré que…
    — Cela va être de ma faute !
    — Non, non, c’est juste que cela m’a rappelé des souvenirs. Au temps du lycée. Alors, lorsque Roland a commencé, je n’ai pas pu résister.
    — Résister ? Tu veux dire rendre les armes dès la première sollicitation. Et pas qu’une fois. Ta culotte doit en avoir la preuve. Tu dois encore être grasse de ses possessions.
    — Oh, Jean c’est…
    — Grossier ? Pardonne-moi, Chérie, je me suis ...
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