1. Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (6)


    Datte: 19/06/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... dans le parc, de façon à ce que les femmes ne voient pas toutes les voitures déjà arrivées et ne se doutent de rien, pensant juste à un plan à trois femmes et quatre mecs.
    
    Maman avait tout de même dit:
    
    — Vous allez voir, je suis sûr que Grégoire sera là !
    
    — Quel bambou... hmm... fit tante Lucie. Ça c’est de la queue... grosse, dure, performante...
    
    — Arrête... je mouille...
    
    Et elles éclatèrent de rire.
    
    Ce n’est pas le même majordome, mais, dans le même uniforme, un grand black baraqué qui nous ouvrit. Je sus aussitôt qu’il était de la fête et les regards que lui lancèrent nos deux salopes montraient qu’elles l’espéraient aussi.
    
    Nous traversâmes un immense vestibule, contournâmes l’escalier pour nous trouver devant une porte qui descendait au sous-sol. Là, nous fûmes séparés.
    
    Les femmes disparurent d’un côté et nous de l’autre. Un type était là qui nous attendait. Il était à poil, en harnais, cagoulé, gros avec une abondante pilosité poivre et sel qui lui donnait un âge avancé. Sexagénaire ? Il avait un gros paquet.
    
    — A poil !
    
    Il y avait des portemanteaux ; nous nous déshabillâmes.
    
    Dès que le premier fut nu, et c’était Alban comme on le pense bien, il fut dirigé vers une autre porte d’où jaillit un autre mâle qui lui fit signer un papier.
    
    — Qu’est-ce que c’est ? demandais-je.
    
    — Vous reconnaissez que vous êtes là de plein gré pour des pratiques sexuelles entre adultes.
    
    — Alban ! Lis-le avant.
    
    Il se tourna vers moi.
    
    — Pas le ...
    ... temps ! Dit-il en me montrant sa queue dressée comme un cierge.
    
    Et il disparut.
    
    Nous fûmes près simultanément, Max et moi, mais je dus sortir le premier. Comme j’essayais de lire ce que j’allais signer, en me rudoyant un peu et, comme un contrat d’assurances dont on ne lit jamais les clauses rédigées en minuscules, je paraphais cet engagement dont je ne savais rien au juste. Mais je trouvais bizarre qu’on prît une telle précaution.
    
    Je fus plongé dans le noir. Plusieurs mains m’agrippèrent, on me passa des menottes dans le dos et un bâillon.
    
    Puis je me retrouvai dans une immense salle, basse de plafonds, éclairée d’un seul côté, comme une scène, et d’ailleurs, c’en était une, plongeant le reste dans l’obscurité. Mais on devinait qu’il y avait foule avec les murmures qu’on entendait et la chaleur qui régnait. Cela sentait le vestiaire.
    
    Une estrade sur laquelle était une sorte de trône attendait à l’évidence un maître de cérémonie.
    
    Devant, une sorte de ring. De part et d’autre, cinq chaises, dont deux vides.
    
    Alban en occupait une, mais, plus surprenant, c’était les deux autres. Bâillonnés, nus, enchaînés, Bertrand et mon père. On les avait effectivement envoyés en mission, mais pas où ils pensaient, à moins qu’ils ne fussent complices. Comment savoir ?
    
    Quand Maxime fut installé, un grand écran descendit du plafond et une vidéo nous mit en scène. La voix était celle de l’odieux Grégoire, qui était le cerveau de l’entreprise.
    
    Les photos avaient été prises ...
«12...4567»