Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (6)
Datte: 19/06/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... dit.
— Allez lui demander s’il vous plaît.
— Madame refuse ca-té-go-ri-que-ment qu’on la dérange !
— Que se passe-t-il ? entendis-je dans mon dos.
Je n’avais pas entendu le patron arriver.
— C’est ce jeune Monsieur qui veut voir Madame, mais Madame est avec le monsieur d’hier et ne reçoit pas.
— Ah mais c’est notre jeune Frédéric ! Laissez ! je m’en charge ! Entrez donc jeune homme. Quel bon vent vous amène ?
En choisissant mes mots, j’excipais de l’invitation qu’il nous avait faite de venir sauter sa femme pour justifier ma visite.
— Tout doux garçon, tout doux ! Qu’est-ce qui t’a fait croire que tu pouvais décider du moment ? On t’appellera et puis on avait dit avec les deux autres petits baiseurs.
J’essayais de me dépatouiller de l’embarras grandissant où je me trouvais en expliquant que malheureusement, mon frère et mon pote n’avaient pas autant de liberté que moi.
Ce faisant, nous avions parcouru les couloirs de l’immense demeure et étions parvenus devant une porte.
— Si je comprends bien tu veux te la baiser tout seul ?
— Euh, non, non, enfin, c’est possible aussi...
— Tu te prends pour qui ? Pour ce genre d’amusement, ma femme préfère des hommes très aguerris et très bien montés.
Je sentis l’insulte, alors que j’estimais être plutôt bien doté par la nature. Le type était moins cool en costard devant moi qu’à poil en train de piner ma mère au milieu d’une bande de dépravés sexuels.
— Regarde.
Il ouvrit la ...
... porte.
Allongé sur le lit, posé comme un nabab, le nain ! L’odieux nain, le pervers Grégoire avec sa grosse queue touffue, bien dure et bien droite, dressée comme l’obélisque de la Concorde. Et la femme, nue léchant l’énorme pieu avec la frénésie d’une hardeuse sur canal le samedi soir.
Le petit salaud, lui, n’avait pas attendu ! Il était revenu à la charge, bien avant moi.
Elle me vit et continua sa manœuvre, l’amplifia même, en me provoquant du regard. Je bandais.
C’est à ce moment-là que le patron me dit :
— Amène-moi ta mère !
J’en étais là ! J’étais venu prendre sa femme et lui commandais : "Amène-moi ta mère"!
C’était un ordre ou plutôt, les termes d’un marché. A prendre ou à laisser.
— Maintenant ? Dis-je stupidement.
— Mais non, imbécile ! Tu veux ma femme ? C’est d’accord, mais amène-moi ta mère.
Je ne voyais pas le sens de la demande. Il pouvait l’avoir quand il voulait, ma mère !
— Mais... il vous suffit de demander à mon père et ils viendront comme...
— Non, pas ça ! Vois-tu, je reçois parfois quelques amis, tous triés sur le volet, et très portés sur l’insolite. Des femmes baisées par leurs hommes, c’est d’un banal... On peut s’offrir ça tous les jours... mais des jeunes puceaux qui tringlent leur génitrice, ça je ne leur ai jamais offert. Ils banderont je te l’assure et ils te la déglingueront après... Baise ta mère pour eux et pour moi et ma femme est à toi... comme elle est à Grégoire.
A ce moment, la femme, toujours en soutenant mon ...