1. Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (6)


    Datte: 19/06/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    — Amène-moi ta mère !
    
    C’était plus un ordre qu’une demande. Le ton était net et le sourire sarcastique.
    
    On était loin déjà, trop à mon goût en tout cas, de cette mémorable soirée, et je n’avais pu un seul instant détacher mon esprit des courbes de la patronne. Cela virait à l’obsession.
    
    J’étais allé au cours de cette partouze, comme elle m’en avait prié, jouir entre ses seins. Mais avant, elle m’avait sucé et je l’avais prise par tous les trous, dans toutes les positions, seul ou avec d’autres types... du diable si je savais lesquels !
    
    Elle bougeait bien sous l’homme. Et puis, avec elle, aucune retenue. C’était une femme, certes d’âge mûr, mais tellement épanouie, aux formes généreuses et vraiment très salope. L’éclat avait été total. J’étais sous le charme... amoureux presque... ou envoûté.
    
    Je ne pus faire autrement que de me pignoler souvent en repensant à ses seins lourds dans mes mains pendant que je la prenais par-derrière. Elle bougeait, comme si son corps connaissait exactement tous les secrets pour faire réagir le mien. Je ne pouvais que me remémorer les caresses de ses mains et l’agilité de sa langue sur mes couilles et ma queue.
    
    Elle s’était livrée avec fougue, sans doute pas plus que ma mère ou Lucie, mais, avec elle, je n’avais eu aucune forme de répulsion, au contraire. Elle avait excité ma libido comme jamais.
    
    Elle avait planté ses ongles dans mes fesses, m’avait labouré le dos qui avait porté longtemps les stigmates rouges de ses ...
    ... griffures et lorsque je m’étais placé entre ses seins... ah !... Comment s’y était-elle prise pour que je sois si bien entre ses deux globes ? J’avais joui, joui comme jamais. Elle m’avait ensuite sucé jusqu’à la dernière goutte, me maintenant dans sa bouche malgré l’extrême sensibilité du gland après l’orgasme.
    
    Jamais je n’avais baisé comme cela et je ne pensais plus qu’à la revoir, la reprendre, mais seul... tout seul, rien qu’elle et moi, l’homme et la femme, l’amant et la maîtresse. Bref, j’étais quasi dingue d’une milf, d’une cougar qui avait plus du double de mon âge.
    
    N’ayant pu détacher mes pensées d’elle, j’avais profité de la proposition faite par son mari que nous devenions ses mire-balais pour aller chez elle.
    
    Mon intention était de griller mon frangin et Maxime et de me réserver l’exclusivité des faveurs de la dame.
    
    Quand je m’étais présenté chez elle, après plusieurs jours d’hésitation, j’étais parvenu à me convaincre que, rien qu’en me voyant, elle se rappellerait notre soirée torride et, n’attendant que moi, elle se jetterait à mes pieds. Néanmoins, je n’en menais pas large.
    
    Je dus revoir mes prétentions à la baisse très rapidement.
    
    Le domestique me dit que Madame ne recevait pas. J’insistais, précisant bien mon nom et lui demandant de le lui porter avec insistance.
    
    Il revint avec la même morgue. Madame avait de la visite et ne recevait pas. Mes espoirs s’effondraient, mais je persistais.
    
    — Quand puis-je revenir ?
    
    — Madame ne m’en a rien ...
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