1. Tournante de pines pour maman et tante Lucie. (6)


    Datte: 19/06/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... regard, vint s’empaler sur la bite du nain, face à moi. J’étais subjugué.
    
    — Alors c’est conclu ?
    
    — Il faudra juste que papa reste à la maison, répondis-je sans détourner l’œil de la scène de baise. Je sais pas si... s’ils le font séparément...
    
    — Pour ça, je m’en charge. J’envoie ton père en mission quelques jours et tu m’amènes ta mère !
    
    — OK, j’vais essayer.
    
    — Faut qu’il amène l’autre pute aussi, intervint Grégoire dont je ne pouvais pas voir le visage.
    
    — Celle à petits seins... Elle me fait moins bander.
    
    — Ouais, mais elle a le cul serré... amène-nous les deux, ta mère et Lucie... ton frangin et Maxime aussi. Deux beaux vicelards ces deux-là !
    
    Le patron ne dit rien et je compris que le nain avait pris une certaine influence sur ce couple-là aussi. Je compris aussi, à d’autres paroles qu’ils échangèrent ensuite, qu’ils se connaissaient depuis beaucoup plus longtemps que cela, du moins dans cette configuration sexuelle. Ils avaient joué la comédie chez nous. Dans quel but ?
    
    — D’accord, je vais le faire, répondis-je.
    
    — Bon garçon... C’est bien ça. Ajouta le patron en me tapotant paternellement l’épaule.
    
    Comme récompense, j’eus le droit d’assister à la fin de la séance entre la patronne et Grégoire.
    
    Le patron s’allongea sans se déshabiller au plus près possible du couple. Il sortit sa bite de sa braguette et se branla. Debout, à côté du lit, j’en fis autant.
    
    Toujours à genoux, la femme tendit sa croupe et le nain la laboura, enfonçant son ...
    ... soc au plus profond dans l’anus. La milf criait de bonheur et l’autre nabot n’arrêtait pas de pérorer sur sa bite exceptionnelle qui, à l’entendre, renvoyait les étalons au rang de petites quéquettes.
    
    Puis il la retourna et lui lima le vagin. Trop excité, j’éjaculai sur les draps.
    
    — Bouffe le foutre du blanc bec dit-il... mais, à ma grande stupéfaction, l’ordre s’adressait au patron.
    
    Celui-ci obéit immédiatement. Il vint lécher mon sperme sur les draps.
    
    — Embrasse ta grosse pute maintenant !
    
    Et il embrassa.
    
    — T’aimes ça cochonne, t’aimes ça grosse truie ! Pince tes mamelons pour me montrer que tu aimes ça.
    
    Et elle obtempéra.
    
    — Allez, maintenant suce ton gros bâtard. Suce-le jusqu’au jus ! Mais toi, attention, ne lui jute pas dans la bouche. Viens juter dans la raie du cul. Alors patron, c’est bon de se vider les couilles dans une bonne truie pour déstresser après le boulot ?
    
    — Oui, c’est bon.
    
    — Dis-le que ta femme est une salope !
    
    — Ma femme est une salope, c’est une vraie pure grosse salope, etc.
    
    — Dis à ce branleur ce que tu vas faire de sa mère !
    
    Le branleur c’était moi.
    
    — J’vais te la ramoner ta pute de mère. J’vais la prendre par tous les trous et j’vais l’offrir avec l’autre pute à un groupe de vrais mecs en rut ! Ils font te la déchirer ! Elle va leur bouffer les roustons et tout le jus dedans. On va te la tringler toute la nuit et les mecs qui le peuvent y reviendront trois ou quatre fois.
    
    Je l’écoutais un peu honteux. Avec ...
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