Douce descente aux enfers (2)
Datte: 13/06/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Poivreetsel, Source: Xstory
... agréable, mais insuffisante. Mon mari discute avec nos amis. Antoine a prétendu être fatigué et s’est retiré pour une sieste dans le bureau. Il a été distant, il m’a à peine adressé la parole. J’ai surpris à plusieurs reprises son regard sur mes nichons et sur mes jambes que ma robe déboutonnée découvre plus que de raison. Je redoute ce qui m’attend, cela m’affole. Je me sens à la fois perdue et conquise. Je suis horrifiée et partagée par les pensées qui m’ont traversé la tête durant cette semaine. L’épouse amoureuse qui n’a jamais eu d’aventure extra-conjugale et cette femme flattée d’avoir suscité ce désir.
Perdue dans mes pensées, j’entends à peine mon mari proposer de descendre au bord de la piscine. D’une voix fatiguée, je décline la proposition. Avec soulagement, je les vois s’éloigner vers la piscine. Je me précipite à l’intérieur de la maison. La fraîcheur qui y règne me fait du bien.
Il est au milieu de la cuisine. Je m’adosse à la porte, pensant puérilement empêcher ainsi quelqu’un d’entrer. Je veux lui demander de me laisser tranquille, d’oublier ce qui s’était passé au bord de la piscine. Aucun son ne sort de ma bouche. Je le vois avancer vers moi, il pose ses mains sur mes épaules, fais glisser les bretelles de ma robe, dénude mes épaules, mes nichons. Je me cambre nerveusement. Il prend mes seins par en-dessous à deux mains et les masse délicatement, remonte lentement vers les pointes. Elles se mettent immédiatement à saillir. Il les pince, me faisant ...
... gémir.
Tout en accentuant ses caresses, il se penche, cherche ma bouche. Je la lui tends, grande ouverte, langue sortie. Au moment où il plonge en elle, je gémis. Une main quitte ma poitrine. Elle se glisse vers ma chatte, la fouille. Bras ballants, jambes ouvertes, je le laisse faire. Inondée de bonheur. Abandonnée à mon homme. Stupéfaite qu’il s’intéresse à moi, qu’il daigne avoir envie de moi. J’ai beau me savoir encore désirable à mon âge, je suis émerveillée qu’il soit revenu vers moi. Je suis au bord de crier quand il s’écarte soudain de moi. Je me tends vers lui, nichons et bouche en avant, avec un gémissement de déception.
Il me repousse sans ménagement et désigne le carrelage de l’index.
— Fous-toi à genoux ! gronda-t-il sans même me regarder. Et relève ta jupe...
Je m’exécute avec des gestes fébriles. Docile.
À quatre pattes sur le carrelage, je me cambre au maximum pour dégager le profond sillon de mon cul que je lui offre, vision affolante de mon intimité. Il prend tout son temps pour dégrafer son pantalon et faire jaillir son sexe rigide à l’air libre. Je n’essaie même pas de tourner la tête pour le voir. Ça m’excite encore plus de seulement entendre les froissements du tissu, le glissement métallique de la fermeture Éclair, son bruit lourd tombant à genoux derrière moi, sur le sol. Je ne peux retenir un gémissement rauque quand je sens, l’onctuosité du lubrifiant couler entre mes fesses. Ses mains viriles empoignent mes hanches et pincent ma peau. Pas ...