Douce descente aux enfers (2) - Histoires de Sexe

Douce descente aux enfers (2)

Plus d’une semaine est passée depuis notre relation au bord de la piscine. Aucune nouvelle d’Antoine.

Aujourd’hui dimanche, je suis nerveuse. Nous devons recevoir ses parents. Rien d’exceptionnel, nous sommes amis depuis longtemps, nous nous rencontrons souvent et toujours avec beaucoup de plaisir, mais Antoine s’est invité. Je crains cette rencontre, j’ai peur d’affronter son regard, j’appréhende. Je ne me sens pas capable de jouer les indifférentes devant mon mari, mes amis et surtout d’Antoine. Il a deviné tout seul mon véritable fantasme, ce qui me fait chavirer : être considérée comme un objet. Un objet dédié à son seul plaisir. Son indifférence à mon égard m’excite. Je me demande si pendant cette semaine... Mais sans oser penser que oui. Furieusement décidée, de me montrer tout à l’heure supérieure à celles qui...

Je viens de finir de m’habiller lorsque mon mari entre dans la chambre.

— Tu es magnifique ma chérie.

— Merci, tu es bien trop indulgent. Mais tes compliments me touchent.

Je tourne sur moi-même pour qu’il puisse profiter de sa femme, comme pour le remercier de sa gentillesse.

Je me sens bien dans cette longue robe rouge de style bohème. Ses fines bretelles mettent en valeur mes épaules. Le boutonnage sur le devant permet un beau décolleté. Mes seins imposants sont mis en valeur par un soutien-gorge rouge pigeonnant sans bretelle.

— Mon décolleté n’est pas trop provocant ?

— Pas du tout, dit mon mari en s’approchant de moi.

À son ...

... regard, je devine sans peine ce qu’il a en tête. En baissant les yeux, je vois la bosse déformant son pantalon.

— Je devrais mettre plus souvent cette robe. Elle semble te faire beaucoup d’effet.

Je proteste quand il me prend dans ses bras. Je sens sa bite dressée contre mon ventre.

— Sois raisonnable chéri. Nos invités vont arriver et nous avons du travail.

— Tout est prêt et c’est un barbecue. Tu es trop bandante. Suce-moi.

Il me pousse, je me retrouve assise sur le bord du lit. Il se libère d’une main, de l’autre me tient la tête. J’obéis, conquise, heureuse d’être désirée par mon homme. Je le suce avec douceur. Ma langue se fait coquine, curieuse. Mes lèvres sont une prison de chair. Ma bouche humide est accueillante. Il gémit, m’oblige à le prendre plus profondément. Je me plie à son désir.

Après de longues minutes de ce supplice, je le sens prêt à jouir. J’accentue la caresse de mes lèvres et je reçois la récompense de mes efforts. Il râle en se libérant. J’avale avec délectation chacun de ses jets. Après lui avoir laissé le temps de reprendre ses esprits, je nettoie sa queue avec ma langue.

Après s’être réajusté, il m’aide à me relever. Il déboutonne les boutons du bas de ma robe jusqu’à haut de mes cuisses. Après avoir glissé ses mains sous ma robe, il retire mon string.

— Tu es fou.

— Pas du tout, j’aime savoir ma salope disponible.

Le repas se déroule dans une bonne ambiance. Il fait une chaleur étouffante, la fraîcheur de la tonnelle est ...