1. Aide à domicile (2)


    Datte: 10/06/2023, Catégories: fh, fhh, jeunes, campagne, amour, Masturbation entreseins, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe portrait, prememois, initiat, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... mais je ne sais pas exactement où, je ne l’ai jamais accompagné.
    — Pas de soucis, je m’en charge. Et toi, Juju, tu te charges des écrevisses. Ça, ça pince ! Et pour les écouler, pas de problème avec Internet. On va se faire un site, une sorte d’AMAP pour bobos.
    — Si vous croyez…
    
    Et ça marcha au-delà de leurs espérances, ils n’arrivaient pas à fournir malgré le surcoût du port en emballages spéciaux. La poste du village en profita également. Elle était vouée à fermer, mais ce regain d’activité repoussa l’échéance. Ludo profita de la fin de l’hiver pour planter des arbres truffiers, un mélange de chênes pubescents, noisetiers charmes et bouleaux, et même quelques tilleuls. Tout semblait presque idyllique, mais Mélanie avait tendance à cafarder le soir, seule dans cette grande maison. Pour retarder l’échéance, elle leur proposa de venir dîner avec elle au lieu d’emporter quelques produits à réchauffer chez eux. Ils acceptèrent avec enthousiasme. Parfois les soirées se prolongeaient un peu devant la télé ou autour d’une discussion animée. Elle allait ainsi se coucher très vite et s’endormait sans avoir eu le temps de mesurer sa solitude.
    
    Le printemps revint avec ses jours plus longs, des températures plus clémentes, mais aussi un surcroît de travail considérable. Les deux copains ne se quittaient plus guère, faisant à peu près tout ensemble. Ils avaient pris ce pli durant l’hiver, autant pour faire le bois que pour les vêlages. Qu’importe, du moment que le travail soit ...
    ... fait et il était très bien fait. Ils avaient l’œil, l’énergie et avaient pris cette bonne habitude de ne rien laisser traîner par-devers eux, dussent-ils y passer une partie de la soirée. Mais toujours Julien prévenait Mélanie que tout retard désormais inquiétait.
    
    En cette fin d’après-midi de juillet, c’était juste avant les moissons, il faisait une canicule insupportable. Mélanie, qui aimait bien voir les yeux des garçons sortir de leurs têtes, portait une tenue sciemment ravageuse. Un chemisier de fine cotonnade jaune, manche courte, col classique, mais qui s’arrêtait sous la poitrine avec deux longues bandes pour y faire un nœud. Il se portait sans bouton et… sans sous-tif ! Pour compléter, elle s’était fabriqué un short dans un vieux jean taille basse réduit à la ceinture et la braguette devant, aux deux poches revolver derrière. Autant dire un boxer en denim. La taille basse de ce short minimaliste laissait voir à l’arrière les trois sangles rouges reliées par un anneau de son string. Un brin allumeuse, mais surtout coquine. Sa bonne humeur était revenue avec la chaleur et le temps avait cicatrisé la douleur de la perte de Gus. Il faut dire que sur un popotin de ce calibre, l’effet était dévastateur et les deux oiseaux mataient le bec ouvert, attendant leur pâtée.
    
    — Oh oh, les garçons ! Ben oui, j’ai un cul, et comme il fait chaud, je l’aère. Vous n’avez jamais vu de fille en maillot de bain ?
    — Scusez-nous, M’dame, pas l’habitude. C’est… très beau !
    — Oh oui, très ...
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