Aide à domicile (2)
Datte: 10/06/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
campagne,
amour,
Masturbation
entreseins,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
portrait,
prememois,
initiat,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... généreuse, pas plus que la jupette n’occultait des hanches et un postérieur d’une rondeur inouïe. Une taille de guêpe renforçait le voluptueux de ces courbes magnifiques. On ne peut pas dire qu’elle fût grosse, juste potelée comme un beau bébé. Du reste, elle conservait un léger pli aux poignets comme en ont les jeunes enfants. Sa peau, si blanche qu’elle frisait le translucide, semblait d’une infinie douceur, comme son regard et sa timidité qui l’empourpra dès qu’elle aperçut ses hôtes.
— Bienvenue à Montclou, Coralie. Moi, c’est Mélanie et voici Julien, copain de Ludovic, qui travaille ici également. D’ailleurs, tu nous excuseras, mais nous n’avons pas eu le temps de nous changer.
— Bonjour, Madame, bonjour Monsieur, répondit une petite voix dans un souffle. Je… je ne voudrais pas vous déranger…
— Mais pas du tout. Utilisons nos prénoms et un « tu » amical, si tu veux bien. Ludo a dû t’expliquer, ici c’est liberté et bonne franquette. On ne fait pas de chichis, on est nature. J’espère que tu n’y vois pas d’inconvénient.
— Pas du tout. Qu’est-ce que c’est joli chez vous… Et comme c’est grand !
— Oui, immense. Du plus loin que tu puisses voir, ce sont mes terres, devant et derrière. Un sacré travail !
— J’imagine…
— Mais avec ces deux zèbres, ça se fait plutôt bien, très bien même. Ludo te fera faire le tour. Tu l’emmèneras en haut, sur le Mont Clou. On voit jusqu’à trois ou quatre départements par temps clair, et c’est le cas aujourd’hui. Ils auraient pu construire ...
... la ferme là-haut, mais il valait mieux y mettre une éolienne. Ici on est protégé du vent d’est et du nord. Allez, passons à table.
C’est un repas de fête qu’avait mitonné Mélanie : foie gras, écrevisses, rosbif de Parthenaise, fromages et salade de fruits de la ferme, arrosé d’un peu de vin local dont Coralie but un demi-verre. Elle avait un joli coup de fourchette et s’extasia sur la qualité des produits, étonnée qu’ils vinssent tous du domaine. On lui expliqua le ruisseau et l’étang, les vignes, les vaches, et l’option d’excellence bio qui avait été prise avec un réel succès commercial.
— Tiens, au fait, Ludovic, j’ai vu une émission de télé qui parlait du « yuzu » .
— Quézaco ?
— Une espèce de citron japonais dont les grands chefs raffolent. J’aimerais bien qu’on essaye d’en faire pousser. Ça se vend six euros pièce ! Tu imagines ? Trente mille euros la tonne…
— Oh putain ! Ça, c’est bon plan, mais il faut voir si ça pousse ici. Je vais me renseigner.
— Ludo, s’il te plaît, évite de dire « p… » à tout bout de champ. Chez moi, ça ne passera pas, implora Coralie. Excusez-moi…
— Mais pas de problème. Tes parents sont… très à cheval sur les principes ?
— On peut dire ça comme ça, en effet. Comprenez, je suis leur fille unique, adorée, vénérée, adulée. Pour eux, j’étais promise à un bel avenir avec un beau mariage à la clé.
— Ah oui ?Mais… je croyais que tu étais dans le sanitaire et social ?
— Oui, oui. Mais je crois que ma mère, et peut-être surtout mon père, me ...