1. La comtesse


    Datte: 10/06/2023, Catégories: f, fh, ff, ffh, hagé, fagée, voisins, bain, forêt, amour, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, fouetfesse, portrait, Auteur: LouVilneau, Source: Revebebe

    ... aimable, nous mène dans une pièce où sont rassemblées archives et documents municipaux. Elle nous montre un meuble à vastes tiroirs et nous laisse nous débrouiller, après recommandation de bien tout remettre en place.
    
    Tout est bien classé, la recherche de la bonne carte est rapide. À partir des repères indiqués dans le livre, nous situons l’endroit présumé de la source. Je prends quelques notes, mais surtout nous essayons de bien mémoriser le chemin à suivre pour y parvenir. Arlette, habituée aux recherches délicates par son ancien métier, se montre particulièrement habile dans cette tâche. Il ne nous reste plus qu’à organiser l’expédition. Revenus à la résidence, nous contactons Gaétane et Nanou. Aussi impatiens les uns que les autres, nous nous décidons pour la journée du lendemain, prévoyant aussi un pique-nique sur place.
    
    — oooOooo —
    
    La journée a été chaude, les allées et venues ont été nombreuses, c’est donc bien fatigué que ce soir-là je cherche le sommeil, allongé nu sur mon lit. Un grattement à la porte, signal habituel de l’arrivée d’Arlette, me sort de mon assoupissement. Étonné de l’heure tardive et qu’elle n’entre pas, je dis à mi-voix :
    
    — Entre donc, c’est ouvert !
    
    C’est Nanou qui passe la tête.
    
    — Tu ne dors pas ?
    
    Je souris intérieurement,« il est bien temps d’y penser… », mais rassure ma visiteuse :
    
    — Mais non, ne t’en fais pas. Viens.
    
    Elle est vêtue d’une longue chemise de nuit, à « l’ancienne », qui la couvre chastement des épaules ...
    ... aux pieds. Je tapote le lit, à côté de moi.
    
    — Assieds-toi là et dis-moi : qu’est-ce qui se passe ?
    
    Elle s’assoit, tournée vers moi. Comme elle semble avoir des difficultés à parler, je lui prends la main, mon poignet reposant sur sa cuisse. J’attends… elle se décide :
    
    — J’ai passé l’après-midi chez… elle a été… je…
    
    Et elle se met à pleurer. Je serre sa main, elle retire la sienne et s’écarte, me tournant presque le dos et regardant dans le vide. Il s’est passé quelque chose qui la perturbe. Est-ce que Gaétane l’aurait blessée ? Je la sens qui se referme, il me faut intervenir pour qu’elle évacue son problème. D’un ton ferme, je lui dis :
    
    — Anne-Marie…(c’est le signal de l’obéissance !)
    
    J’attrape un bout de sa chemise de nuit et je la secoue :
    
    — … tu retires ton armure et tu viens t’allonger à côté de moi. Et tu me racontes tout ce qui s’est passé.
    
    Elle se lève et, silencieusement, fait passer la chemise par-dessus sa tête. Elle est nue. Timidement, elle vient se nicher contre moi dans le bras que j’ai écarté pour l’accueillir. Elle parle, lentement, entrecoupe ses paroles de longs silences.
    
    — Gaétane, elle m’a fait une bise quand je suis arrivée… on a été s’asseoir dans le canapé… elle m’a fait un thé… pour elle aussi… elle m’a raconté son oncle… c’est horrible ! … Elle m’a dit qu’elle te l’avait dit aussi… Elle a pleuré, je l’ai prise dans mes bras… on est restées longtemps comme ça…
    
    Tout en restant dans mon bras, Nanou vient se coller contre ...
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