La comtesse
Datte: 10/06/2023,
Catégories:
f,
fh,
ff,
ffh,
hagé,
fagée,
voisins,
bain,
forêt,
amour,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
portrait,
Auteur: LouVilneau, Source: Revebebe
... moi, chevauchant ma jambe. Je lui fais une bise sur le front pour l’encourager à continuer son histoire.
— Moi, j’ai raconté maman… elle me faisait des baisers dans le cou… puis elle a déboutonné mon corsage… elle a embrassé mes seins… c’était bon !
De ma main, passée derrière elle, je lui caresse le bas du dos, je tapote ses fesses. Elle serre les cuisses convulsivement.
— Elle a ouvert son chemisier… elle a soulevé son soutien-gorge… elle a mis ses seins devant ma bouche… je les ai tétés… elle a jeté sa tête en arrière, elle a gémi… ça a duré longtemps… elle me tétait, je la tétais, on était bien… elle m’a allongée, elle a passé sa main sous ma jupe… j’ai laissé faire… elle a glissé sa main dans ma culotte… ahhh !
Prise complètement par son récit, elle se masturbait sur ma cuisse et le souvenir de son orgasme d’alors a déclenché celui de maintenant. Par quelques claques amicales sur les fesses, je la rappelle à la réalité.
— Elle m’a déshabillée et elle s’est déshabillée… elle s’est allongée sur moi… à l’envers… et… C’était si bon ! J’avais jamais connu ça… elle aussi a crié… souvent… fort ! … et c’était moi qui lui donnais cette jouissance… j’étais… fière !
— Mais c’est très bien ! Comme je suis heureux pour toi ! C’est formidable ce qui t’arrive !
— Oui, j’aime beaucoup ce qu’on a fait, mais j’aime aussi beaucoup tout ce que tu m’as fait… et Gaétane, c’est une femme… elle peut pas… Oh, Lou, fais-moi l’amour, une fois, que je sache…
— oooOooo —
La ...
... nuit dernière, j’ai dépucelé une « demoiselle » de soixante-sept ans. Bien sûr, les concombres et autres légumes avaient fait le plus gros du travail, mais sûrement pas avec la même fougue, ni la même chaleur !
Le temps est magnifique pour une balade en forêt, la chaleur est atténuée par une douce brise qui fait bruisser les feuillages et le chant des oiseaux devient presque assourdissant à certains moments.
En sortant du bâtiment, nous croisons la directrice qui nous salue aimablement puis se fige de surprise en reconnaissant Gaétane qui nous avoue que c’est la première fois depuis très longtemps qu’elle sort ainsi par la porte principale.
La partie la plus proche du bois, pas mal fréquentée, est bien entretenue. Le cheminement y est facile. Nanou et Gaétane marchent devant, en se tenant la main, Arlette et moi, nous suivons, chargés des sacs à dos qui contiennent le repas et les accessoires pour le pique-nique. Nous avons tous revêtu une tenue légère, fine cotonnade pour le haut et short, seule Arlette se distingue avec son sempiternel jean.
Lorsque nous pénétrons plus avant, la progression devient plus difficile. Je dois prendre la tête, armé d’un bâton que j’ai ramassé, pour écarter les fourrés beaucoup plus denses et surtout les ronces qui s’accrochent et griffent douloureusement. L’ambiance est détendue, presque « gamine » : des chatouilles avec des feuilles, des fausses terreurs provoquées par l’approche d’animaux fantastiques, ce qui permet d’oublier la ...