1. L'Empire des sens au pays d'Oc


    Datte: 06/06/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Petite Chérie, Source: Xstory

    ... me "désenpeguer" (dépêtrer) de tout cet imbroglio ? Malgré moi, mon sexe commençait à faire des siennes en palpitant comme pour sortir de sa cachette, prêt à "giscler" (jaillir) sur tout ce qui aurait bougé...
    
    Un peu hésitant, je me lançai, pas encore affamé : il y avait du pain, du beurre et des pots de sauce (aïoli, béarnaise etc.) ; nous mangions vite tout ce qu’il y avait sur le ventre plat. Son nombril apparut, la donzelle rigolait, car ce que nous lui faisions la chatouillait.
    
    — Tu veux boire du Madiran dans son nombril ? proposa Cristol.
    
    — Oui. Ça va me faire du bien (ce sont de grands fadas).
    
    Je bénéficiais enfin en gros plan du doux ventre tout blanc orné d’un adorable nombril.
    
    Néanmoins, malgré mes lamentables soubresauts de conscience, je me mis à laper ce ventre, assoiffé. Du bout de ma langue, je titillai ce nombril gentiment offert, provoquant à nouveau de petits rires. La drôlesse était chatouilleuse.
    
    Mes mains partirent à la découverte de ce que cachaient les feuilles de salade. Une magnifique poitrine d’albâtre aux tétons déjà tendus apparut, attirant ma bouche, mes lèvres : je m’enivrai de caresses sur ce bas-ventre contracté. Un filet de Madiran se mit à couler sur les pointes érigées ; je ne pouvais laisser cette demoiselle dans cette détresse humide. Ma bouche les suça, aspira, lécha, téta à tour. Delphina gémit de plaisir.
    
    Cristol, en ami dévoué, m’accompagnait dans ce ballet gastronomique sur le corps de sa sœur.
    
    Il restait une ...
    ... fine tranche de jambon fumé sur sa chatte.
    
    Delphina gémit encore : elle avait l’air d’aimer ça !
    
    — Tu veux bien manger le jambon après que je l’aie trempé dans sa minette pour l’enduire de son jus ? me proposa La Mèm. (Mèm m’enfin ! Oh oui, oui...)
    
    — Elle va jouir, la pitchoune... annonça Cristol.
    
    La Mèm retira le jambon. Je vis des poils fins autour d’une vulve trempée, ouverte, entre des cuisses écartées. La Mèm enroula la tranche pour la glisser entre les petites lèvres rose pâle et enfonça ce rouleau dans le vagin de sa fille. Du tendre écrin suintaient des sucs vaginaux, telle une cascade en été. Quelques va-et-vient et Delphina jouit, le corps arc-bouté, dans un cri sauvage.
    
    — Regarde comme sa chatte coule... c’est une vraie petite pisseuse de jus d’amour, ma petite Delphina ! Goûte.
    
    J’enlevai le foulard à la jeunette et découvris deux magnifiques yeux gris-bleu et la délivrai de ses entraves.
    
    Un peu plus bas, un petit mont de Vénus rasé et décoré d’une multitude de taches de rousseur : un appel à la luxure. Son tendre abricot était légèrement ouvert, dévoilant ses lèvres rose carmin et l’entrée étroite du vagin. Son clitoris, gros comme un grain de riz, me paraissait un peu sensible. Instinctivement, je me léchai les lèvres, ce qui fit sourire Cristol, moqueur, mais complice.
    
    — Delphina a très envie de connaître le goût de ta crème, me dit La Mèm, un sourire coquin au coin des lèvres.
    
    Cristol, inspiré, posa un peu de crème chantilly sur son ...
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