1. Hélène (43)


    Datte: 05/06/2023, Catégories: Lesbienne Auteur: rouge22, Source: Xstory

    ... les seins. Et je n’étais qu’un trophée pour lui.
    
    — Faites un effort pour vous, alors !
    
    Je glisse mon majeur et mon index dans son sexe et je la fouille. Sa respiration s’accélère.
    
    J’appuie mon pouce sur son anus, elle se crispe, et résiste.
    
    — Vous n’allez pas me faire croire que vous êtes vierge du cul...
    
    — Non, murmure-t-elle, mais je n’aime pas.
    
    — Et vos amants, ou votre mari ?
    
    — Un amant, mais parce qu’il avait été bien sage et gentil.
    
    — Eh bien, vous allez vous laisser faire, fais-je en poussant mon doigt.
    
    Elle se bloque et serre ses fesses sur ma main. Je la décoince, et dans l’élan, je claque son popotin.
    
    — Ouille, vous me faites mal.
    
    Je la fesse encore cinq ou six fois.
    
    — Voilà, vous allez être bien gentille maintenant.
    
    Elle chouine et chuchote un petit oui.
    
    Je glisse mes doigts dans sa fente. Je farfouille entre ses lèvres et pénètre dans sa vulve ruisselante.
    
    De ma main libre, je m’empare d’une de ses mamelles. Je la soupèse, puis je saisis le téton qui se gonfle aussitôt. Je le serre entre pouce et index. Elle soupire. Je ne sais s’il s’agit de peine ou de plaisir.
    
    Je la pistonne doucement, puis de plus en plus énergiquement. Elle halète, puis râle au rythme de mes aller-retour. Je place mon pouce contre son anus et je pousse. Son oignon résiste.
    
    Alors sans pitié, je tords son mamelon. Elle crie de douleur, mais se relâche et je passe en force sans cesser de la branler.
    
    Elle geint, et marmonne des mots sans ...
    ... suite.
    
    — Oui, oui, oui.
    
    — Branlez-moi.
    
    — Je suis votre salope.
    
    — Enculez-moi.
    
    — Je suis votre chienne.
    
    Tout un vocabulaire cochon y passe, puis elle se tait, respirant de plus en plus fort, bouche ouverte.
    
    Puis un râle sourd et elle spasme violemment, se crispant tellement qu’elle broie mon pouce.
    
    Elle s’écroule en travers de mes jambes.
    
    Doucement, je la redresse et je la câline.
    
    Elle se cramponne à moi, puis se jette sur mes lèvres et viole ma bouche.
    
    Nous restons liées par nos langues une éternité.
    
    — Allez, il faut se rhabiller, fais-je en la repoussant.
    
    Elle me laisse à regret et entreprend de rassembler ses vêtements. J’en profite pour admirer son corps pulpeux et je jauge le plaisir que je pourrais en tirer.
    
    Elle boucle son soutien-gorge, puis enfile son haut. En me tournant le dos, elle enjambe sa jupe de cuir et la remonte sur son splendide croupion rosi par la fessée.
    
    — Ouille, ouille.
    
    — Pauvre chérie. Ça vous apprendra à vous jeter à la tête de la première venue.
    
    — Vous m’avez fait un peu mal, mais c’était bon quand même. Vous m’avez dévastée.
    
    Cette dernière réplique me provoque un flash intérieur.
    
    — Agenouillez-vous sur le canapé.
    
    Et je farfouille dans mon sac. J’y trouve un bijou, pas trop gros, mais suffisamment lourd pour l’usage auquel je le destine.
    
    Je lui montre.
    
    — Vous savez ce que c’est ?
    
    — Oui, quand même, je ne suis pas une oie blanche.
    
    — Ouvrez la bouche. Et j’y plante l’olive métallique ...
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