Hélène (43)
Datte: 05/06/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: rouge22, Source: Xstory
... Excusez-moi.
Je prends sa main, elle croise mon regard.
— Venez, il y a un canapé avec une housse dans le salon, fais-je en l’entraînant.
Je m’assois, rabattant les pans de ma large jupe sur mes genoux. Je la laisse debout.
— Déshabillez-vous, mettez-vous en dessous.
— Mais...
— Allons, c’est bien ce que vous vouliez, n’est-ce pas ?
— Euh... Oui.
— Alors, ne traînez pas, je veux vous voir.
Elle pose sa veste, puis elle fait glisser son haut au-dessus de sa tête. Sa poitrine imposante est contenue dans un bustier à coques emboitântes. Elle descend la glissière de sa jupe, puis le fait glisser le long de ses cuisses en se tortillant pour faire passer sa croupe opulente. Elle se retrouve en string, soutien-gorge et bas autofixants. C’est une belle mature, solide, à peau claire, forte en cuisses, en fesses et en hanches, aux seins lourds en forme de demi-bol.
Une fourrure abondante, châtain clair déborde de son slip.
— Vos mains derrière la tête, ordonné-je. Puis je poursuis.
— Vous n’êtes pas si mal foutue. Et puis vous avez mis des bas.
— Oui, j’ai vu que vous en portiez, la dernière fois, dans l’escalier.
— Ah c’était vous ce regard indiscret qui a glissé sur mes cuisses ? Un instant, j’ai cru que le voyeur, c’était votre mari.
— Vous ne risquez rien avec lui, il ne regarde plus que les nymphettes.
Pendant un instant, je retourne à mon triste passé. Et j’ai un petit éclair de sympathie pour elle. Mais je décide de rester dans mon ...
... rôle.
— Vous devriez mettre un porte-jarretelles, ça vous éviterait d’être serrée aux cuisses, ça les boudine. Et je continue :
— Et quelle idée de mettre un string !
— Je ne voulais pas avoir de marques !
— Alors, ne mettez pas de slip !
— Mais...
— Pas de mais, enlevez-moi ces bouts de ficelle, et agenouillez-vous devant moi.
Et maintenant, mettez vos mains sur mes genoux.
Elle est là, agenouillée, tremblante. Ça me rappelle le début de mon initiation par Hélène, mais je pense que j’étais moins godiche qu’elle. Je lui prends le menton entre mon pouce et l’index, et je la fixe dans les yeux.
— C’est bien ce que vous vouliez ? On continue ?
— Oui, répond-elle à voix basse.
— Dégrafez-vous, je veux voir vos seins.
Elle s’exécute. La nature l’a très bien dotée : ses nibards tombent un peu, ils sont ronds et lourds avec de larges aréoles brunes et grumeleuses, avec des bouts gros comme mes phalanges.
Je les soupèse, j’apprécie leur poids dans ma paume. Elle commente.
— Je ne les aime pas, ils sont trop gros.
— Vous avez tort, je les trouve magnifiques et si appétissants. Et je poursuis :
— Vous allez poser vos mains sur mes chevilles et remonter jusqu’à ma lingerie, et vous me l’enlèverez.
— Enlever quoi ?
— Ma culotte, bien sûr.
Sa caresse sur mes cuisses me fait frissonner. Elle glisse ses phalanges entre ma peau et la soie et la tire.
Je me soulève légèrement, pour faire passer mon linge, jusqu’à mes chevilles, puis ...