Hélène (43)
Datte: 05/06/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: rouge22, Source: Xstory
... je m’ouvre légèrement.
— Troussez-moi !
Elle repousse ma jupe et dévoile mon ventre jusqu’à mon nombril. Elle découvre mon sexe annelé et surtout ma plaque accrochée à ma petite lèvre.
— Surprise ? Et je continue :
— Approchez-vous, et lisez !!!
— Hélène ! C’est le nom de votre amie ?
— Oui, c’est une vraie amie, mais aussi une maîtresse autoritaire et exigeante. Et je continue :
— Penchez-vous et embrassez-moi.
Elle pose sa bouche sur mon sexe impatient.
— Mangez-moi.
Elle m’obéit, elle est assez maladroite, et timide. Puis elle s’enhardit et mâchonne mes lèvres. Elle joue de sa langue dans les replis de ma chatte. Elle déguste ma cyprine abondante.
Je ne boude pas mon plaisir et je l’encourage de petits gémissements.
Mais je dois assumer mon rôle de maîtresse autoritaire. Je remonte mes jambes, dévoilant mon périnée.
— Descendez, je vous prie.
Elle lève les yeux, inquiète. Je veux la soumettre, mais pas l’humilier. Alors les mots d’Hélène me reviennent en mémoire. Je lui murmure.
— S’il vous plaît, vous verrez, j’ai bon goût, et je suis très propre.
Elle se penche. Sa langue glisse sur mon périnée, puis marque un temps d’arrêt avant de caresser mon œillet. Je m’ouvre. Elle hésite, puis se faufile dans mon anus. Celui-ci baille de bonheur et se déplisse.
— Plus profond !!!
Soumise, elle s’exécute et ventouse sa bouche à mon sphincter. Elle m’explore, sollicitant toutes les fibres nerveuses de mon rectum.
Je laisse ...
... échapper un profond râle de gorge en me laissant glisser en arrière. Je pars en emprisonnant sa tête entre mes cuisses.
Ce n’est pas un orgasme puissant comme ceux que me prodigue ma déesse en mêlant plaisir et souffrance. Mais c’est bien agréable.
Je reprends mon souffle, en me redressant. Elle me fixe, anxieuse.
— C’était bien... Un peu maladroit, mais bien !!!
Mon compliment l’émeut plus que je m’y attendais. Des larmes montent dans ses yeux.
Je prends son visage entre mes mains, je l’attire à moi. Et je l’embrasse. Patin d’enfer, je fouille sa bouche, comme tout à l’heure, elle a fouillé mon anus.
Nous nous séparons. Elle halète.
— Posez-vous en travers de mes genoux !
Elle se positionne, me tendant son pétard plantureux. Il est opulent, un peu gras, mais sans cellulite ni peau d’orange. Il est magnifique. En un instant, je décide de l’offrir aux lanières de ma maîtresse adorée.
Je glisse ma main entre ses fesses. Je m’emmêle un peu les doigts dans ses poils. Elle se laisse faire avec complaisance, et elle écarte ses cuisses, me livrant accès à sa vulve.
— Posez vos mains sur votre cul, et écartez-vous. Je veux vous voir.
Elle croche ses doigts dans cette chair si tentante. Son sillon et son périnée sont envahis par la même pilosité que sa chatte.
— Vous vous négligez.
— Personne ne vient plus y voir, me répond-elle.
— Pas même un amant.
— J’ai plaqué le dernier, il y a un mois, il était trop con. Il me faisait mal en me tripotant ...