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Le point de bascule
Datte: 05/06/2023, Catégories: fh, extracon, voisins, sport, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral jouet, québec, extraconj, Auteur: Rb07, Source: Revebebe
... bassin pour que je la pénètre profondément. Ce devait être sublime. Cette superbe physionomie se mit à grandir dans mon champ visuel et je m’aperçus un peu tard que Sophie était en train de freiner à un feu rouge. J’appliquai les freins en urgence, mais dus manœuvrer sur la gauche pour éviter de la percuter. Elle me regarda quitter la chaussée et glisser sur la pelouse avant de m’arrêter. — Oups désolé ! J’ai été distrait ! — Tu regardais les oiseaux ? Il faut garder les yeux devant soi ! — C’est pourtant bien là que je les avais ! La lumière vira au vert et elle décolla. Debout sur ses pédales, la perspective était encore plus agréable. L’espace entre ses cuisses se définissant parfaitement, il exposait clairement la voûte de son périnée et j’imaginai mes doigts s’y faufiler adroitement. L’œuvre d’art se dandinait de manière ostentatoire alors qu’elle accélérait et je n’eus aucun mal à observer la consigne qu’elle m’avait imposée : regarder devant. Je la suivis ainsi à travers quelques rues résidentielles sinueuses qui menaient à l’estacade. L’estacade était ce pont parallèle au pont Champlain, qui enjambait le fleuve Saint-Laurent qui était réservé à de la machinerie d’entretien. Surélevé de seulement quelques mètres par rapport au niveau de l’eau, il donnait une perspective unique. Nous avancions à vitesse modérée sur la petite passerelle en surplomb qui avait été aménagée pour le transport actif. Le miroir azur du fleuve, qui n’était perturbé d’aucune ...
... brise, défilait à quelques mètres sous nous. L’estacade ne rejoignait pas l’autre rive du fleuve (la vraie « terre ferme » !), mais plutôt une bande de terre artificielle séparant les rapides du fleuve de la voie maritime empruntée par la marine marchande. Cette bande de terre, longue d’une quinzaine de kilomètres et large d’une vingtaine de mètres était un des endroits prisés par les cyclistes. Le couvert de bitume n’était parcouru que par les véhicules procédant à l’entretien de la voie maritime, ce qui n’arrivait jamais. Il était ainsi possible de rouler sans avoir à se soucier d’une quelconque circulation, et l’eau couvrait la périphérie de notre champ visuel, tant à gauche qu’à droite. Il y avait au bout un grand parc sauvage, tout juste au niveau du fleuve et vis-à-vis des larges rapides. C’était un endroit très agréable à fréquenter. Je passai devant elle pour faire la locomotive pendant un moment, et nous alternâmes la position de tête à intervalles réguliers. Je restais attentif à l’effort qu’elle fournissait, car même si elle était une cycliste puissante, je pouvais pousser plus qu’elle et je devais m’assurer qu’elle ne brûle ses forces trop rapidement. Lorsque j’étais devant, je me demandais si la vue de mon postérieur pouvait l’éveiller autant que le sien m’avait émoustillé. J’avais pris la peine d’enfiler mes vêtements de vélo qui donnaient le plus envie de glisser ses mains dessus. Ou même de les passer dessous. On peut toujours rêver ! Nous approchions du bout ...