Série « Les voisins » Épisode 2 : Gérard baise avec les boulangères. Partie 1/2
Datte: 05/06/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... Nous nous retrouvions face à face plaqués l’un contre l’autre dans un espace très réduit. Elle leva son visage vers moi en me fixant, j’adorais ses yeux et la profondeur de son regard. J’avais très envie de l’embrasser, cette femme m’avais mis dans tous mes états. Avec mon air sérieux, je l’embrassai sur la joue et lui dit à son oreille :
— Il ne vous mérite pas Christiane...
— Arrête Gérard ! Tu es gentil mais tu es si jeune et marié. … Me dit-elle me tenant la main en sortant du véhicule.
— Vous n’en avez pas marre de jacasser vous deux. Gérard magne toi le cul, tu vas te mettre en retard. Cria Henri qui regarda sa femme méchamment.
Pendant toute la matinée en conduisant sur les routes de campagne, je pensais à ce qu’avait dit Christiane. Certes, nous avions une vingtaine d’années d’écart, néanmoins elle n’avait que quarante-cinq ans et restait une femme très désirable, ce n’était pas un problème pour moi. D’accord, j’étais marié, cependant elle l’était aussi, rien ne nous empêchait de prendre du bon temps. Plus j’y pensais, plus j’avais envie de coucher avec ma patronne. Un, pour mon plaisir, deux ; pour apporter un peu de bonheur dans sa vie et trois ; pour cocufier ce con d’Henri. Je ne savais pas ce que Christiane avait derrière la tête et si je ne me faisais pas un film. Quoiqu’il en soit, j’étais bien décidé de tenter ma chance.
À 13 heures, Christiane m’attendait avec impatience, nous avions déchargé la marchandise puis elle me demanda gentiment si je ...
... voulais bien venir la rejoindre dans son bureau. Martine était à la boutique et son mari faisait la sieste à l’appartement, c’était le seul endroit où la patronne pouvait être tranquille. Là, elle commença son explication, elle attendait que sa fille Sylvie âgée de 16 ans soit majeure avant de demander le divorce. Puis me raconta sans que je lui coupe la parole sa vie de femme battue en finissant par : « Henri depuis que Martine est là, ne me touche plus. Tu sais pour une femme c’est très difficile et très humiliant. » :
— Vous n’avez jamais pensé à le tromper ? Vous avez le droit de prendre du plaisir.
— Regarde-moi Gérard ! Je n’ai rien de sexy, je ne suis pas comme Martine, il n’y a que les vieux qui me regardent. M’avait-elle dit en se levant et en se présentant devant moi.
— Je suis certains que vous pourriez trouver facilement un homme qui vous plaise, avec tous ceux qui gravitent autour de vous.
Devais-je intervenir maintenant ? Pensais-je à cet instant, cependant, j’appréhendais sa réaction. Elle était devant moi les mains sur ses hanches. Qu’attendait-elle de moi ? :
— Mais toi Gérard ! Dis-moi franchement ce que tu penses de moi. Insista-t-elle en se rapprochant encore un peu plus de moi.
Subitement, sans lui répondre je lui attrapai la main, en l’attirant vers moi, elle se retrouva assise sur mes genoux. Je l’avais prise dans les bras et déposai mes lèvres sur les siennes. Elle n’avait fait aucun geste pour me repousser, elle ouvrit sa bouche et ...