1. Série « Les voisins » Épisode 2 : Gérard baise avec les boulangères. Partie 1/2


    Datte: 05/06/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... fort. En même temps que sa bouche faisait des va et vient tout au long de ma belle queue, elle me regardait droit dans les yeux, je lui souriais malicieusement, tout en poussant un peu plus fort lui baisant la bouche. Je n’en pouvais plus, j’attendis qu’elle prenne sa respiration puis je m’enfonçai une dernière fois et dit en éjaculant : « prend ça ma vieille salope. » Elle s’exécuta et avala en plusieurs fois mon sperme. Elle passa ensuite un doigt sur la commissure de ses lèvres, repoussant à l’intérieur de sa bouche, ce qui avait coulé à l’extérieur et avala doucement le surplus :
    
    — Je dois dire que tu es une bonne suceuse de bite Martine. Je ne vais plus me branler, je n’aurai jusqu’à monter un étage.
    
    — Tu pars déjà ? Et moi.
    
    — J’adore voir les femmes me supplier.
    
    Elle s’allongea sur le canapé et écarta ses jambes. Je mis un doigt dans sa bouche qu’elle lécha, le suça longuement puis je fis glisser mes doigts entre ses cuisses, m’attardant sur le rebord de ses grandes lèvres, tout en malaxant sa poitrine en même temps de mon autre main. Je caressais sa chatte, jouant avec son clitoris, avant que mon majeur ne la pénètre. Elle me caressait le sexe en même temps, je commençais à reprendre de la vigueur, cela m’excita fortement de la voir ainsi. J’approchai mon visage si près de sa chatte qu’elle avait senti mon souffle puis avec ma langue je lui léchai le clito, ce qui la fit frissonner de plaisir.
    
    Je la léchais, l’aspirais, la suçais pendant que je la ...
    ... doigtais de plus en plus vite. Lorsqu’elle avait atteint son premier orgasme, je l’admirais, ma queue était redevenue aussi dure que du bois. Je m’allongeai, elle se frottait la chatte contre mon gland, pendant que je lui malaxais la poitrine : « Tu viens de jouir mais je vais te faire crier cette fois salope. » À cet instant, je l’avais pénétrée sévèrement. Mes coups de reins puissants se firent plus rapides. Son corps tremblotait pendant que je la ramonais sauvagement, ma bite allait et venait en elle avec toute ma puissance et ma détermination.
    
    Elle poussait que des petits cris « Oui ! Oui ! Oui ! Elle devait beaucoup apprécier sentir mon dard qui lui défonçait la chatte. Cela devait faire longtemps qu’elle n’avait pas baisé de cette façon : « À quatre pattes, sale chienne. » Je la perforais brutalement une nouvelle fois. : « Hum j’aime ça, défonce-moi. » Me dit-elle. Je lui remplissais le vagin, son plaisir ne cessait d’augmenter, elle prit un second orgasme en criant après dix minutes de chevauchée fantastique. Je m’étais retiré pour jouir à mon tour sur sa belle poitrine qu’elle tenait devant moi. Mon sperme dégoulinait de son cou entre ses seins pour atteindre son ventre :
    
    — Tu m’as fait bander comme un âne Martine. Je repasserai demain pour le café.
    
    — T’as été génial Gérard. À demain.
    
    Pendant les six mois suivants, je venais baiser Martine tous les matins sauf le mercredi quand son gamin n’avait pas école. Notre relation prit fin car après un an de petits ...
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