Série « Les voisins » Épisode 2 : Gérard baise avec les boulangères. Partie 1/2
Datte: 05/06/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... boulots en intérim, en sortant de chez moi, je tombai nez à nez avec la boulangère dans l’escalier. En effet, ce couple qui nous louait l’appartement habitait l’étage en dessous du nôtre, nous nous croisions assez souvent avec la boulangère mais nos discussions n’étaient que des banalités. Sachant que j’avais mon permis de conduire, son mari ayant perdu son salarié, elle me proposa un poste dans son commerce. Tous les jours à 6 h du matin, je devais charger le pain et les diverses pâtisseries dans la camionnette puis faire la tournée dans tous les villages du secteur, pour ne revenir qu’aux alentours de 13 heures.
Mon patron se levant vers deux heures du matin, se recouchait vers 11 heures, Martine la vendeuse prenait son service au magasin vers midi et lorsque je revenais, la patronne Christiane, m’aidait à décharger le reste des marchandises de la camionnette avant d’aller déjeuner. Henri G était un gros travailleur mais il était exécrable, tous les matins avant l’ouverture, il râlait et criait après sa femme voire même après le commis. Lorsque nous étions à la télé les soirs, nous avions même remarqué avec Liliane que cet homme insultait son épouse, nous nous demandions s’il ne la battait pas.
Ma patronne était une femme tout à fait ordinaire mais d’une grande gentille, elle avait le cœur sur la main. Elle avait 45 ans, elle était grande et mince avec une petite poitrine mais un très joli cul. Se levant tôt, Christiane n’avait pas le temps les matins de se ...
... maquiller, elle n’en avait presque pas besoin car ses grands yeux bleus étaient magnifiques, elle ne se fardait que les lundis, le jour de fermeture, lorsqu’elle allait en courses pendant que son mari faisait la sieste. Elle ne s’habillait pas sexy mais avec son naturel, elle était agréable à regarder. Malgré ce qu’elle subissait avec son mari, elle s’efforçait de rester souriante.
Un matin, comme souvent Christiane venait de se faire insulter par son mari, elle était penchée en avant, afin d’arranger les pâtisseries sur l’étal de ma fourgonnette. Avec son petit cul tendu en arrière, j’avais peu de place pour ressortir de la camionnette. Je me mis donc sur la pointe des pieds et essayai de me glisser derrière elle sans lui toucher les fesses, mon dos contre les étagères à l’arrière : « Pardon » lançais-je en forçant le passage. Je n’avais jamais su si elle avait fait exprès mais à cet instant, elle recula m’empêchant d’avancer, j’avais mon bas ventre contre son cul et elle ne dit rien. Je posai mes mains sur ses hanches afin de me sortir de là mais elle poussait un peu plus ses fesses contre moi. Notre posture était excitante, si quelqu’un nous avait vu à cet instant, il aurait pu penser que j’étais en train de la prendre par derrière :
— Putain ! J’en ai marre de ce con. Me dit-elle en se retournant.
La situation était cocasse, elle s’accrochait à moi afin de pouvoir se relever, ma main gauche lui tenait son avant-bras et ma main droite s’était glissé sur le bas de son dos. ...