Série « Les voisins » Épisode 2 : Gérard baise avec les boulangères. Partie 1/2
Datte: 05/06/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... fais l’amour avec Liliane que les dimanches. Elle est toujours trop crevée ou malade. Hier encore elle a refusé, si ça continue comme ça, je n’hésiterai pas à la faire cocue.
— Oh mon pauvre ! Me dit-elle en me serrant dans ses bras et en me faisant une bise sur la joue. (J’avais vu juste)
— Attention Martine on pourrait nous voir. Dis-je pour la tester.
— Tu n’as pas froid ? Viens allons chez-moi, j’ai du café qui passe.
Martine était aux anges, très fière que j’accepte de venir avec elle dans son appartement. Elle ne savait pas quoi faire pour me faire plaisir, elle attendait probablement que je l’embrasse mais je la faisais languir, j’avais très envie de m’amuser avec elle, cela m’excitait d’autant plus de la voir se trépigner. Après avoir bu le café où j’avais parlé essentiellement de mes exploits avant mon mariage, elle vint sur le canapé et se rapprocha de moi, me murmurant à l’oreille : « J’ai toujours rêvé de coucher avec toi. » Elle était parvenue à faire ce premier pas que j’attendais, nos visages s’étaient rapprochés et nous nous étions embrassés sensuellement avant qu’elle ne poursuive. « J’ai très envie de toi ».
Je me levai agrippant ses hanches et me collai contre son corps. Je désirais qu’elle ressente mon sexe. J’avais raison, je remarquai que Martine avait immédiatement apprécié ma grosseur à travers mon pantalon, ce qui fit tout de suite monter la température. Elle se frottait fortement à moi pendant que j’attrapais ses fesses à pleines ...
... mains :
— Tu bandes Gérard ! Ta bite me semble très grosse.
— Ton cul sera bien mieux que ma main, tu ne crois pas ?
Elle m’embrassa avec passion, ses lèvres étaient tendres, épaisses, son baiser était d’une extrême violence. Je lui pétrissais la poitrine en massant chacun de ses seins qui durcissaient sous mes doigts. Lorsque je passai ma main sous sa robe, je sentis que son string était très humide. Je me penchai à son oreille : « Tu mouilles comme une jeune salope. » Je fis descendre sa robe, mes lèvres pincèrent ses tétons qui s’érigeaient, les doigts de mon autre main avaient glissé sous le mince tissu de son string, son regard en disait long, elle était devenue comme un animal. Elle gesticulait de toute part, ma langue et mes doigts lui procuraient une sensation de bonheur.
Elle gémissait de plus en plus fort, mes mots crus que je prononçais en même temps, lui fit comprendre que j’allais la baiser sauvagement, sans amour mais avec rage : « Oui ! baise-moi Gérard. » Elle me retira mon pantalon et se mis aussitôt à genoux devant moi. Mon sexe épais était très raide et tendu devant sa bouche. Elle commença par lécher mon pénis de bas en haut, sans oublier mes testicules. Puis elle goba mon gland, faisant rouler sa langue dans tous les sens. J’agrippai sa tête de mes deux mains, la tirant par les cheveux. Je murmurais des cochonneries, allant même jusqu’à la traiter de sale pute.
Martine pris mon sexe en entier entre ses lèvres, ce qui me fit gémir d’autant plus ...