1. Le cobra macassar


    Datte: 03/06/2023, Catégories: h, fh, fplusag, extracon, fsoumise, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral coupfoudr, extraconj, Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe

    ... j’explose en vol alors que quelques giclées de semence éclaboussent mon visage, dégringolent dans mon cou, dégoulinent vers mes seins tendus. Le plafond est ciel éblouissant, le sol s’est ouvert et nous glissons de concert dans les grands huit flamboyants de l’extase qui nous tourneboulent comme des fétus de paille.
    
    Aux tourbillons katrinesques des spasmes orgasmiques succède peu à peu une plénitude réconfortante qui me laisse atone. Je m’affaisse doucement sur mes talons, finissant par allonger mon dos sur le carrelage dont la fraîcheur bienfaisante lénifie mes sens anesthésiés. Je gis, yeux clos, allongée sur le sol, mes mollets repliés sous mes cuisses wide open, telle une grenouille sur la paillasse d’un apprenti laborantin. Mon prince réglisse me donnera-t-il le baiser qui me transformera en princesse des mille et une nuits… de folies ?
    
    La froidure moite d’un gant de toilette sur mon visage me tire de ma félicité. À genoux sur mon côté, mon seigneur procède avec application à ma toilette, puis déboutonne lentement mon chemisier et déclique le clip de mon soutien-gorge, ce qui en écarte les bonnets sans libérer totalement mes seins. Passant ses mains sous ma taille et mon cou, il me soulève sans effort et me porte vers la chambre. Mes derniers vêtements tombent et je suis définitivement nue lorsqu’il me dépose délicatement sur le lit. Sa délicatesse, ses gestes attentionnés, sa patience m’émeuvent, moins toutefois que son corps chaud qui se presse à mon côté. J’aime ...
    ... sa peau aux cent nuances de noirs, si sombre dans son cou, plus nuancée sur son torse. Accoudé contre moi, il m’offre ses lèvres, sa bouche, son souffle. Je les savoure en échange des miens et nous nous étourdissons de tendres câlineries.
    
    Sa langue a glissé dans mon cou, s’attarde sur mon épaule, s’insinue dans mon aisselle pour me faire frissonner avant de descendre sur mes côtes. J’aime cette large langue sur ma peau, cette caresse chaude et humide qui me transporte. J’attends, j’appelle, j’espère cette baveuse montant à l’assaut de mes seins blancs. Mes tétons, amollis il y a peu encore, durcissent à la vitesse de la lumière, s’érigent insolemment, guignolots fiérots et tentateurs. Mais la langue s’ingénie à dessiner les courbes d’altimétries de mes monts éburnéens, gravissant lentement les pentes, contournant les pics turgides. Horripilante et savante progression qui exaspère mes sens et déclenche des ondes électriques jusqu’aux tréfonds de mon intimité. C’est un éclair qui me soulève à l’instant du contact, projette mon téton dans sa bouche. Les lèvres, la langue, les dents martyrisent doucement le pauvre bouchon granuleux. Mon excitation atteint désormais une tension presque douloureuse, d’autant qu’une main de mon amant est partie explorer mon ventre et agace mon nombril.
    
    Je n’en peux plus d’attendre, je meure d’atteindre la fusion promise, la connexion ultime. Je veux sa queue, sa queue en moi ! Et tant pis si ce mandrin épais m’écartèle les chairs ! J’ouvre au ...
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