1. Le cobra macassar


    Datte: 03/06/2023, Catégories: h, fh, fplusag, extracon, fsoumise, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral coupfoudr, extraconj, Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe

    ... plus possible le compas de mes cuisses, je roule des hanches, gémit, implore :
    
    — Viens Bryan, viens, baise-moi, je n’en peux plus d’attendre, je veux ta bite au plus profond de moi. Défonce-moi, laboure-moi. S’il te plaît, conclus-je en gémissant.
    
    Mon bon prince obtempère, se coule entre mes cuisses. Planté sur ses bras, il me surplombe en souriant. Sa queue, posée sur ma chatte coulisse lentement entre les froufrous de mes lèvres déployées et trempées, monte insensiblement vers mon clito impatient. La caresse du gland sur mon bouton provoque un heureux cataclysme qui déclenche ma révolte : d’un coup de rein, j’amène la bite à l’entrée de ma moule. Bryan secoue la tête, rit presque de mon impatience. Le nœud s’enfile entre mes babines brûlantes, pénètre par petits va-et-vient successifs et conquérants le chaudron ardent. Je savoure chaque petit centimètre de la progression du monstre délicieux, ses frottements sur les aspérités de ma voûte, déclenchant des myriades de sensations indicibles, comme s’il allumait des spots minuscules pour éclairer ma caverne obscure. Il entre le bougre, facilement au demeurant ! Bien plus aisément que je ne l’avais imaginé, ou craint. Le Basilic se faufile entre mes tendres chairs et vient buter, enfin, au fond de la grotte alors que les couilles se plaquent contre mon cul. Eh oui, c’est un serpent à couilles, le plus dangereux et le plus délicieux des serpents.
    
    Bryan reste parfaitement immobile. Lui, en tous cas. Car son bâton magique ...
    ... semble animé d’une énergie indépendante : je perçois et apprécie pleinement ses légères constrictions, ses petits soubresauts, son impatience contenue. Les yeux dans les yeux, nous entamons là notre fusion, dans une immobilité faussement tranquille. Faussement, car la bête s’anime, recule, s’échappe presque, gardant juste la tête dans le four. Il plonge d’un coup, se retire vivement, revient, et revient encore. Toujours… avec plus de force semble-t-il, avec plus de fougue, sans ménagement maintenant que le passage est foré. À chaque butée du monstre, mon bassin recule, mon corps tout entier ripe vers la tête de lit. Mon Dieu Bryan, tu vas me démantibuler, m’exploser. Je sens bien que l’éruption est proche : j’ai rêvé de ce cataclysme pendant des mois et là, alors qu’il est à portée de chatte, je redoute son déclenchement. La félicité de ce ramonage me comble, dans tous les sens du terme et je voudrais que ses assauts durent encore et encore.
    
    Mais les digues cèdent une à une, me tétanisant plus intensément à chaque instant qu’au précédent. L’élastique neural se tend désespérément, le claquage sera dévastateur, je le sais !
    
    Non, en fait, je ne sais plus rien, je n’ai plus d’esprit, plus de raison. J’ai basculé, je tombe vers l’azur, je ne suis qu’une de ces mini-balles rebondissant en tous sens, une boule de flipper qui s’éclate contre des parois invisibles de l’éther, provoquant des geysers de lumières aveuglantes. Je rue, je halète, je crie, je hurle bouche ouverte mais ...