Le cobra macassar
Datte: 03/06/2023,
Catégories:
h,
fh,
fplusag,
extracon,
fsoumise,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Oral
coupfoudr,
extraconj,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... déçue ! Certes, rien de bouleversant concernant sa taille, sa longueur du moins… mais plutôt épais, belle circonférence en fait, de quoi bien remplir ma mimine, et je crains déjà un peu pour mes mandibules(j’ai une petite bouche !).
Mais le plus beau, le plus magnifique, le plus impressionnant et, somme toute, le plus appétissant, c’est le noir profond de ce cobra macassar qui tranche si superbement avec le gland délicatement rosé et brillant de sève… Une merveille, une œuvre d’art, puissamment veinée ; un os, dur et doux à la fois sous mes doigts serrés, inflexible et soyeux ; un bâton de maréchal, insolemment dressé vers les cieux, bien qu’un peu torve en son extrémité, pointant légèrement vers la gauche :« C’est pour tirer dans les coins, me dis-je en souriant, attendrie par cette légère imperfection. »
Imperfection ? Tu parles ! Charme supplémentaire ! Ainsi donc, le dieu Apo, divinité du soleil brûlant, est fait de chairs et de sang, il est humain, avec ses qualités et des défauts.
Tombée à genoux, je relève la tête et plante mon regard dans les yeux de Bryan. Presque tremblante, j’approche ma bouche du bâton wengé ; ma langue, timide, vient recueillir la goutte de fluide accrochée au méat du gland. Apprivoisées, mes lèvres se plaquent sur le champignon rose, le flattent, le titillent. Dans ma caverne buccale, l’animal est chaud, frémissant. Je l’enrobe de ma salive, je le suce, l’aspire, le pompe. Bryan a la gentillesse de ne pas me tenir la nuque(je ...
... déteste ça !), mais je connais les attentes des hommes. J’avale le mandrin, je pompe avec ardeur, j’affole le gland tout en caressant ses couilles bien rondes. Je pousse la bête jusqu’au fond de ma bouche : le gland repousse ma luette, butte sur l’épiglotte, mais je m’en sors sans haut-le-cœur. Et haut les cœurs, ma fille, active-toi, démène-toi, provoque le K. O., déclenche l’éruption. Je sens bien que ça ne va pas tarder, Bryan proteste, juste pour la forme : il a compris l’inévitable ! Si ma main gauche est bien accrochée à ses fesses, les doigts plantés dans la raie pour contenir ses mouvements, ma droite, elle, a filé entre mes cuisses. Deux, trois, puis quatre doigts enfournés dans la marmite touillent avec frénésie mon miellat bouillottant, dévastent la cavité, exaspèrent mes replis sensibles. Je prends garde cependant à ce que ma paume ne vienne pas frôler mon bouton, trop sensible, trop impatient pour être tant soit peu contrôlable. Je suis folle, je suis démente, forcenée, échevelée, mais si heureuse déjà ! Mon crâne de poupée de chiffons dodeline sous les assauts dont je suis seule responsable, et peu m’importe mes genoux douloureusement agressés par le carrelage, mes doigts de pieds crampés à en faire mal.
La première giclée de sperme me prend par surprise, manque de m’étouffer. Je résiste encore à la suivante avant de capituler. Reddition totale et partagée, mon pouce et mon index, abandonnant ma chatte, viennent d’appuyer sur mon détonateur. J’éclate à mon tour, ...