Le cobra macassar
Datte: 03/06/2023,
Catégories:
h,
fh,
fplusag,
extracon,
fsoumise,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Oral
coupfoudr,
extraconj,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... tous les coups !
— Ouais, d’accord, mais… deux minutes s’il te plaît ?
Ce n’est pas que je me dégonfle, mais le jeu me semble bien puéril, en fait. Je préférerais un minimum de forme et de tralala et surtout, un peu moins de taches de peinture sur son visage et son torse sublime. Tant qu’à me faire un black, je préférerais qu’il soit un tout p’tit peu moins blanc !
— Ne va pas croire que je me défile, mais, franchement, on a plus 12 ans ! On ne va pas jouer à touche-pipi ou au docteur. On mérite mieux que ça non ? J’ai envie de toi, terriblement…
— Moi aussi, j’ai envie de toi, tu n’imagines pas ! Mais donc ?
— Que dirais-tu d’un petit tour vite fait à la salle de bains, histoire de te débarbouiller un peu ? J’ai une super serviette…
J’attrape mon bonhomme par la main droite pour qu’il me suive, mais j’ai oublié qu’il est ambidextre : sa main gauche file aussitôt sous ma jupe.
— Mmmh, j’adore les petites cochonnes qui se baladent cul nu, me susurre-t-il en pétrissant mes fesses.
Dans la salle de bain, quelques coups de gant de toilette rapides avant de m’employer à sécher consciencieusement la peau. Consciencieusement. Lascivement. Amoureusement. Appuyé contre le mur, arcbouté, les hanches propulsées en avant, Bryan se laisse faire sans broncher. Il apprécie le bougre, le chapiteau de son short me paraît encore plus impressionnant que la veille. Je caresse ses pectoraux, je tournicote doucement sur son torse, effleure la peau noire sans appuyer sur la ...
... serviette qui finit par tomber au sol quand j’aborde ses minuscules tétons durcis. Le contact direct de mes ongles le fait tressaillir, il grogne, gémit doucement. Je le bâillonne alors en m’emparant de ses lèvres charnues, ses belles lèvres marbrées, et nos langues se trouvent, se chamaillent, s’affrontent, se défient avant de s’abandonner. Nos souffles mêlés nous époumonent, nous nous asphyxions l’un de l’autre.
Si mes mains ont désormais glissé doucement sur son ventre et flirtent avec l’élastique du short que je descends millimètre après millimètre, mon bel amant est plus impatient : ses mains, ses mains puissantes, ont abandonné mes fesses nues pour faire coulisser le zip de ma jupe qui s’affale sur le carrelage. Mes fesses et mon sexe lui sont désormais accessibles, sans entrave aucune, et mon basketteur ne se gêne pas pour me mettre la main au panier qu’il trouve totalement inondé et brûlant. Oh mon dieu ! ses doigts, ces phalanges impatientes, maraudant entre mes fesses, frôlant ma rosette et survolant mes lèvres congestionnées sont un délice qui manque de me faire m’effondrer.
Mais je résiste, je rue même, juste assez pour me débarrasser de ces inquisiteurs impudiques.
« Doucement Bryan, ne t’affole pas, ne m’affole pas tout de suite ! Je veux ta queue d’abord, je veux découvrir ta bite, la voir, l’admirer, la toucher, la serrer dans mes doigts, la sentir vibrer sous mes caresses »
Le short dégringole, libérant enfin l’objet de mes désirs… et je ne suis pas ...