1. Série « Les voisins » Épisode 11 : « Monique » La branlette au papy qui changea sa vie.


    Datte: 03/06/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... dire. Je fis mine de rien et je me repris : « Allez Jean, un petit effort, je dois me préparer pour faire les courses. » Je l’avais aidé jusqu’à la salle de bain puis je passai à la cuisine pour lui préparer le petit déjeuner. Pendant qu’il finissait son bol de café, j’étais prête à partir lorsque soudain, il reprit la parole : « Comment fais-tu Monique ? Bernard ne te manque pas ? » Me demanda-t-il sans aucune pudeur et en reposant sa main derrière ma cuisse en m’attirant vers lui.
    
    J’avais hâte de partir de chez lui, je venais de comprendre qu’il me faisait carrément des avances, il avait envie que je reste avec lui et me le montrait en se plaquant contre moi. Puis il insista : « Tu sais l’actrice me fait beaucoup penser à toi lorsque tu étais jeune. Je pensais toujours à toi. » Je ne sais pas ce qui s’était passé, je n’étais pas en colère après lui, Jean me mettait mal à l’aise, je n’étais plus moi-même, c’était la première fois que je ressentais dans mon ventre comme un courant électrique. Lorsqu’il me demanda de regarder le film avec lui, je dus me retirer gentiment de son étreinte en lui disant que je ne pouvais pas rester : « Tu es encore si belle, ne me dis pas que tu ne vois pas quelqu’un ? »
    
    Je ne savais plus où me mettre, j’étais partie sans me retourner et me jurai que je ne reviendrais plus de sitôt. Pendant toute la matinée, je n’avais pensé qu’à cette étreinte, ce petit quelque chose qui m’avait traversé tout le corps. Croyant qu’il jouait la comédie, ...
    ... lorsque j’avais parlé de la santé de Jean à mon amie Marie Sophie l’après-midi, étant une ancienne infirmière, elle me dit que c’était tout à fait normal qu’à son âge il ait quelques petites difficultés les matins à se lever mais que dès que ses muscles étaient chauds tout rentrait dans l’ordre.
    
    Puis dans la conversation, je lui parlai de ce que j’avais vu le matin à son réveil : « Le vieux bande, c’est tout à fait normal, il peut baiser jusqu’à sa mort, tu sais. » J’avais enchainé sur ce que j’avais ressenti lorsque Jean se colla contre moi avec son sexe en érection : « Ça c’est la magie du sexe Monique ! Depuis quand n’as-tu pas couché avec un homme ? » je crus qu’elle allait s’évanouir lorsque je lui avais répondu dix ans : « C’est incroyable Monique ! Comment fais-tu pour t’en priver ? Ce que tu as ressenti ce matin, c’est de l’excitation ton voisin t’a foutu le feu au cul. »
    
    — Mais il a 85 ans ! Je l’aime bien mais comme mon père. Dis-je
    
    — Écoute, Jean a envie de toi, la prochaine fois soulage le en le masturbant. Tu verras ce que tu ressens, après tu décideras si tu veux aller plus loin avec lui. C’est peut-être un bon coup.
    
    Pendant les deux jours suivants, Jean s’était levé seul aux aurores comme à son habitude. Je pensais à lui pendant toute la journée, j’essayais de ne pas trop le rencontrer, je l’évitais au maximum afin qu’il ne se fasse pas trop d’idée sur mon compte, je sortais de chez moi le plus discrètement possible. Le samedi après-midi, je profitai du ...
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