1. Le Vieil Homme et la Mère


    Datte: 02/06/2023, Catégories: fhhh, hplusag, jeunes, couleurs, vacances, plage, sauna, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe

    ... feule, sa main vient se poser sur ma bouche pour en atténuer le bruit.
    
    Nous restons encastrés un long moment l’un dans l’autre. Peu à peu, nos souffles redeviennent normaux. Je me sens bien, même si je réalise que nous ne nous sommes pas protégés. Soudain, je sursaute. On frappe à la porte, et une voix masculine résonne :
    
    — Et nous, Max ?
    
    Ses copains nous ont retrouvés, ils me veulent aussi ! J’esquive un léger mouvement, et réalise que le sexe qui est resté en moi est toujours dur. Ce garçon ne débande donc pas ! Quelle vigueur ! Je sens nos humeurs couler le long de mes cuisses.
    
    — Laissez-nous tranquilles, répond-il d’une voix autoritaire.
    
    Après un moment d’immobilité, je fléchis les genoux, il me suit dans mon geste. Nous nous retrouvons assis sur le sol en béton, nous faisant front, mes cuisses sur les siennes, son pieu toujours en moi. Alors, lentement, il me pousse en arrière en pressant sur mon buste et je me retrouve, appuyée sur les coudes, face à lui. Il fait de même, et entame alors de très lents mouvements en moi. La sensation est extraordinaire, car il frotte presque douloureusement sur mon clitoris en l’emmenant dans ses mouvements. Il touche des zones nouvelles pour moi. Dans la pénombre, je croise son regard trouble. Je ne le lâche plus, voir le plaisir monter dans les yeux d’un homme est particulièrement émouvant. L’accélération de ses gestes trahit la montée de sa sève. Il se mord les lèvres, ses pupilles se dilatent et se troublent, il me ...
    ... lâche sa purée, un tsunami me traverse, je crie, librement cette fois, et retombe sur le dos. Nous avons joui deux fois en moins de dix minutes !
    
    Combien de temps suis-je restée ainsi prostrée, le dos sur le sol rugueux ? Je l’ignore. Tout d’un coup, j’ai pris conscience de la rugosité du sol dans mon dos et surtout de l’horrible sentiment de vide qu’il a laissé en moi quand il déserte mon ventre. Lentement, il se relève, me tend la main pour m’aider, me prend dans ses bras et dépose un merveilleux baiser sur mes lèvres. Je sens avec une délicieuse honte nos sucs qui sourdent hors de moi. Il me susurre :
    
    — Elo, tu fais merveilleusement l’amour !
    
    Je redescends sur terre. J’ai laissé toutes mes affaires sur la base de kite, je dois d’urgence me laver ! À peine la porte ouverte, je cours vers le rivage. J’ai l’impression que tout le monde sur la plage devine d’où nous venons et ce que nous y avons fait. Enfin dans l’onde, je peux me purifier. Je sens le piquant de l’eau salée m’irriter les muqueuses. Max m’a rejoint, il me prend à nouveau dans ses bras puissants et me serre contre lui. Moi qui voulais être discrète ! Après une longue baignade réparatrice, nous rejoignons notre point de départ, et je retrouve enfin mon sac et ma serviette. Les trois copains me regardent d’un air étrange, où se mêlent désir et réprobation. Nous n’échangeons aucun mot, je les quitte d’un signe de main, Max me rattrape, m’enlace et me roule un patin de cinéma. Comme s’il voulait réaffirmer à ...