1. Le Vieil Homme et la Mère


    Datte: 02/06/2023, Catégories: fhhh, hplusag, jeunes, couleurs, vacances, plage, sauna, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe

    ... qualifie brillamment dans sa poule, à notre grande joie. Le speaker fait monter la tension avant le départ de la finale. Chaque concurrent a son fan-club qui tente de s’égosiller plus fort que les autres. Lorsque le départ est donné, les cris redoublent, les bras s’agitent, je n’arrive même plus à distinguer Max des autres. Lorsqu’il revient, ses trois copains coïncident : peut-être premier, au moins deuxième. Verdict hélas confirmé par le jury. Il gagne cependant un superbe t-shirt au couleur du club et nous nous retrouvons tous les cinq à manger un hamburger. Je n’ai pas vu passer le temps, il est déjà quinze heures.
    
    Je redeviens malgré moi le centre de la conversation : mon initiation est programmée pour l’après-midi ! Lorsque, questionnée à ce sujet, je dis à mes nouveaux amis que je n’ai jamais fait de windsurf, je sens une certaine détresse les traverser. Il semblerait que ce soit le premier pas obligatoire pour se lancer dans le kite ! Pragmatique, Max décide que tel sera l’objet de ma première leçon. Une demi-heure plus tard, me voilà sur une planche, entourée par quatre gaillards. Je regrette de ne pas avoir emporté de maillot, la recherche d’un équilibre précaire est incompatible avec une nudité à peu près décente et donne des angles de vue gênants. Hélas, la mer est assez agitée, et chaque fois que je tente d’incliner le mât pour trouver de l’équilibre et faire avancer la planche, je me retrouve dans l’eau ! Je me fatigue à boire plusieurs tasses et à sentir ...
    ... des mains exploratrices m’aider à remonter sur mon frêle esquif. Finalement, un de mes moniteurs va me chercher un gilet de survie. Bien utile, mais probablement conçu pour une femme totalement plate ou pour un homme, je l’enfile sans pouvoir l’attacher sur ma poitrine. Si elle rend mes chutes moins profondes et m’évite de boire la tasse, ma bouée ne me donne pas plus d’équilibre !
    
    Max décide de prendre le taureau par les cornes, monte sur la planche, s’installe derrière moi, ventre contre mon dos, et me prends les mains pour m’enseigner où les mettre. Cette fois nous décollons et mon radeau glisse sur l’eau, accélérant peu à peu. La sensation est grisante, le clapotis de l’eau divin, je suis conquise ! Avec patience, mon moniteur m’enseigne l’angle à donner à ma voile par rapport au vent. Je tombe au premier virement de bord, il me remonte et nous repartons. Nous réussissons le second, puis le troisième, et nous amusons à rivaliser de vitesse avec d’autres pratiquants.
    
    Un phénomène nouveau vient cependant troubler mon apprentissage. Je sens sur le haut de mes fesses, à la limite de mon gilet, durcir peu à peu quelque chose dont je devine aisément la nature. Une pensée saugrenue me traverse la tête : heureusement que Max a près de vingt centimètres de plus que moi et de grandes jambes, sinon l’intrus serait capable d’aller explorer les recoins pour lesquels il est fait. Je suis troublée, il doit l’être aussi, car nous ne parlons plus. Ses conseils avisés cessent. Je sens ...
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