1. Le Vieil Homme et la Mère


    Datte: 02/06/2023, Catégories: fhhh, hplusag, jeunes, couleurs, vacances, plage, sauna, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme confession, Auteur: Elodie.S, Source: Revebebe

    ... aussi, de plus en plus, dans mon ventre, cette tension que donne l’envie. Je me doute bien qu’il ne peut pas revenir sur la plage, aux yeux de tous, dans cet état. Sommes-nous donc condamnées à voguer jusqu’à ce que mon compagnon débande ? Comment pourrais-je trouver la manière de le câliner afin qu’il retrouve une taille décente alors que je suis en permanence à la recherche d’un équilibre instable ? À moins qu’un bon bain frais… En plus, je sens qu’il se colle de plus en plus à moi, je sens même les battements de son cœur au bout de sa queue dressée !
    
    Je décide d’aborder le problème de front et, me retournant à demi, lui glisse :
    
    — Max, dans l’état où tu es, nous ne pouvons pas retourner sur la plage !
    
    Il reste silencieux de longues secondes, remue un peu, ce qui oriente son sexe durci vers le bas maintenant ; il se glisse entre mes fesses, j’en frémis. Puis il me dit d’une voix grave :
    
    — Si, on peut. En arrivant sur la plage, là où tu as pied, tu t’occupes du mât, et moi de la planche. Je vais accoster juste en face des hangars.
    
    Il réalise minutieusement son plan, nous sommes assez éloignés de notre aire de départ. Il démonte le mât, je le prends et le suis. La planche plaquée contre abdomen, il traverse la plage, et atteint un des petits hangars dont il ouvre la porte. Il s’efface pour que je rentre, la verrouille, ce qui ne me surprend pas, et se retourne vers moi, le sexe flamboyant dressé dans ma direction. Il s’approche, et saisit mes lèvres. Il a le ...
    ... goût du sel. Avec une délicatesse inattendue, il m’enlève mon gilet. J’oublie qu’avec ses dix-neuf ans, il en a quatorze de moins que moi. Je sculpte du bout des doigts les contours de ses pectoraux, il se penche, prend mon sein dans sa bouche et me tète comme un bébé. Ma main descend vers son bas ventre, joue avec les boucles de ses poils, et atteint enfin son membre. Il est doux, il est dur. Il sursaute à mon contact et me mordille un peu.
    
    Il se relève, s’écarte un peu. Seul un faible rayon de lumière qui passe sous la porte éclaire notre petit gourbi. Il hésite, prend la planche, la cale légèrement inclinée contre une étagère, me pousse contre elle et se baisse légèrement pour pouvoir m’investir. Je suis humide et accueillante, mais dois le guider en moi de la main. Il me pénètre, lentement, inexorablement. Je m’accroche à sa nuque. Max me fait l’amour à son image, sportivement, naturellement, spontanément, avec une pointe d’autoritarisme. Lorsqu’il s’enfonce en moi, il m’entraîne vers le haut et je me retrouve sur la pointe des pieds. Notre différence d’âge s’est estompée, nous ne sommes plus qu’un homme et une femme soudés l’un à l’autre. Bien que le contact de la planche dans mon dos soit un peu désagréable, tout mon être se concentre dans le plaisir que me donne le jeune membre vigoureux qui glisse dans mon ventre. Je sens le plaisir monter en moi, je crispe mes muscles vaginaux, mon amant accélère, je jouis, je l’inonde, il me comble de puissants jets féconds. Je ...